Le limogeage de la Ministre de l’écologie Delphine Batho du gouvernement pour insurbordination budgétaire chagrine tous les écologistes (combien de divisions ?) qui depuis hier après-midi entonnent en chœur la complainte des mal-aimés..
Pour une fois que François Hollande montre de la fermeté et que cela n’envoie pas croupir en prison des opposants, issus des contestataires de la Manif pour Tous ou des agressés des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, il fallait que cela tombe sur eux ! C’est nigaud, tout de même !
À quoi servent d’ailleurs les écologistes, sinon à pourrir la vie des automobilistes et des socialistes ? Au gouvernement, ils sont inodores et sans saveur à tel point qu’il a semblé tout naturel à Jean-Marc Ayrault, devant sabrer dans le budget des ministères, de commencer par celui de l’écologie.
L’occasion était donc offerte aux talibans auto-proclamés seuls défenseurs de la Nature de se draper dans leur dignité, verts de rage comme il se doit, et de claquer la porte de son gouvernement.
François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont dû s’y attendre sans en être probablement plus troublés que cela. Ils ont bien d’autres soucis que ces deux ministres fantômes dont un Français sur cinq à peine connait le nom de Cécile Duflot et moins d’un sur cinq cent mille (et encore !) celui de Pascal Canfin, respectivement Ministre de l’Égalité des territoires et du Logement et Ministre délégué au Développement… Ne ricanons pas, c’est nos impôts qui paient chaque mois la cocasserie de ces intitulés, les émoluements des parasites qui y sont à demeure, ceux des deux guignols qui les dirigent pour le quart d’heure… et leur parfait inutilité dans les faits, ce qui est finalement peut-être le moins grave.
Évidemment, le départ des deux ministrucules signifiait, sinon la fin de l’alliance électorale d’EELV avec le PS, du moins des réglements de comptes certains aux élections municipales et législatives à venir. Et l’hécatombe ainsi programmée de leurs élus.
Alors, avec une abnégation conforme aux seuls intérêts de leur train de vie, les dirigeants d’EELV ont décidé de reporter en septembre la décision de quitter ou non ce gouvernement qui ne rate pas une occasion de les humilier…
Une humiliation somme toute supportable du moment qu’elle reste convenablement rémunérée.
Pour une fois que François Hollande montre de la fermeté et que cela n’envoie pas croupir en prison des opposants, issus des contestataires de la Manif pour Tous ou des agressés des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, il fallait que cela tombe sur eux ! C’est nigaud, tout de même !
À quoi servent d’ailleurs les écologistes, sinon à pourrir la vie des automobilistes et des socialistes ? Au gouvernement, ils sont inodores et sans saveur à tel point qu’il a semblé tout naturel à Jean-Marc Ayrault, devant sabrer dans le budget des ministères, de commencer par celui de l’écologie.
L’occasion était donc offerte aux talibans auto-proclamés seuls défenseurs de la Nature de se draper dans leur dignité, verts de rage comme il se doit, et de claquer la porte de son gouvernement.
François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont dû s’y attendre sans en être probablement plus troublés que cela. Ils ont bien d’autres soucis que ces deux ministres fantômes dont un Français sur cinq à peine connait le nom de Cécile Duflot et moins d’un sur cinq cent mille (et encore !) celui de Pascal Canfin, respectivement Ministre de l’Égalité des territoires et du Logement et Ministre délégué au Développement… Ne ricanons pas, c’est nos impôts qui paient chaque mois la cocasserie de ces intitulés, les émoluements des parasites qui y sont à demeure, ceux des deux guignols qui les dirigent pour le quart d’heure… et leur parfait inutilité dans les faits, ce qui est finalement peut-être le moins grave.
Évidemment, le départ des deux ministrucules signifiait, sinon la fin de l’alliance électorale d’EELV avec le PS, du moins des réglements de comptes certains aux élections municipales et législatives à venir. Et l’hécatombe ainsi programmée de leurs élus.
Alors, avec une abnégation conforme aux seuls intérêts de leur train de vie, les dirigeants d’EELV ont décidé de reporter en septembre la décision de quitter ou non ce gouvernement qui ne rate pas une occasion de les humilier…
Une humiliation somme toute supportable du moment qu’elle reste convenablement rémunérée.
Philippe Randa http://www.voxnr.com