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Charles Maurras, soixante ans après, sous la direction d Axel Tisserand Pierre Téqui éditeur

Après avoir outrageusement dominé le monde intellectuel, politique et littéraire pendant cinquante ans jusqu’en 1945, et avoir combattu la République comme peu avant lui et personne après, qui connaît encore Charles Maurras ?

En dehors d’une infime minorité d’intellectuels un peu curieux, de ceux qui veulent se faire peur sans trop de frais, de quelques régionalistes félibres un peu dépassés, et de quelques amateurs de sensations littéraires fortes, voire quelques bibliophiles, ou encore des savants amateurs de listes inénarrables de livres, façon professeur tournesol, détenteur de la plus grande bibliothèque personnelle d’écrivains “de droite” du monde.

Faut-il rappeler que cet homme, qui fut le plus grand xénophobe de sa génération, qui n’en manquait pas au demeurant, fut condamné à la Libération-Epuration pour “intelligence avec l’ennemi”… Bref, cet homme nous échappe de toute la puissance de son génie littéraire.

Mais, soixante ans après, l’âge de la maturité par excellence, que reste-t-il de Maurras ? A-t-il encore des disciples et qui sont ces curieux intellectuels qui se risquent encore à lui rendre hommage publiquement ?

Le sous-titre “Regard critique sur un poète-philosophe engagé dans les tourments politiques et religieux de son siècle” donne le ton ; Maurras est bien considéré comme un homme de lettres animé de passions politiques et d’une vrai souci religieux. “Engagé”, comme son anti épigone d’après-guerre. Mais Charles Maurras assumera ses choix dans sa propre chair, ailleurs qu’à St Germain des Prés et dans sa passion pour son pays, ce qui le mènera en prison.

La suite dans Enquêtes & Débats

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