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Socialisme : féminisation des valeurs et homosexualité

Il est des rapprochements troublants : par exemple les socialistes et les homosexuels ont la même couleur pour représenter leur drapeau: le rose. Est-ce un hasard malencontreux ou cela a-t-il une signification ? En tout cas l'homosexualité a toujours été un cheval de bataille que les socialistes français ont toujours enfourché avec une ardeur non feinte. Dans les manifestations socialistes et homosexuels ont toujours marché d'un même pas la main dans la main si l'on ose dire.
Ils ont de nombreux points communs au delà du pourrissement des valeurs et de la désintégration du pays qu'ils appellent de leurs voeux.
Actuellement rien ne leur semble plus urgent à leurs yeux que de régulariser des unions homosexuelles alors que la plupart des couples hétéros ne songent même plus à le faire. On se rappelle de la fameuse affiche socialiste qui représentait un homme nu pour une campagne électorale. Représentation qui n'avait rien d'une statue grecque mais où l'homme était là de façon ridicule. Le ministre qui a régné sur la culture socialiste pendant plus de dix ans était à l'époque Jack Lang (l'homme aux chemises roses et au col mao) et il n'a jamais dégagé une virilité débordante tant sur le plan physique, intellectuel ou psychologique.
Les ministres de droite qui l'ont succédé n'ont rien fait de mieux que de l'imiter comme un modèle absolu et indépassable en particulier Douste-Blazy dont la période ne fut pas vraiment celle d'une revirilisation de la culture.
Au parti socialiste la grande critique que faisait Pierre Bergé à Lionel Jospin était sans doute de ne pas être assez féminisé, ne pas faire assez homo, assez «métèque». On se rappelle aussi des diatribes de Bernard Kouchner qui comparait l'homme mâle à Satan.
L'homosexualité est donc une obsession chez les socialistes que l'on décèle même chez leurs femmes politiques. Les déclarations d'Edith Cresson n'étaient pas tout à fait fausses lorsqu'elle disait que le fait homosexuel est plus important en Europe du Nord que du Sud.
Mais il faut souligner qu'il n'a pas la même signification. Dans notre pays il est synonyme de mépris de soi, de rabaissement et de pourrissement de tout. Il suffit de voir le film de Cyril Collard « les nuits fauves » où l'homme blanc est rabaissé au niveau le plus bas. Ce film culte de la culture socialiste française résuma à lui seul tout le ministère de Jack Lang. On était certes à des années lumière des films ouvriéristes du cinéma soviétique.
S'il n'est pas homo, l'homme prôné par l'idéal socialiste doit être l'homme mollasse, avachi genre François Hollande, opposé au type guerrier. La plupart des hommes politiques actuels sont souvent très féminisés. Les valeurs socialistes sont devenues fondamentalement fémino-homosexuelles.
Cette féminisation du monde et des valeurs a été comme la bien vu Nietzsche commencé par Rousseau qui est sans doute actuellement le penseur le plus proche de la gauche actuelle écolo-socialiste, beaucoup plus que Marx. Avec Rousseau l'humanité a changé de sexe. L'écrivain aimait les femmes non en tant qu'homme mais comme 'une femme avec un corps d'homme se sentant beaucoup d'affinités avec l'univers féminin. Il était aussi l'homme du ressentiment qui cherche la cause de son état misérable d'homme rancunier dans les classes dominantes.
Mais même la bonne vieille thématique de la lutte des classes qui avait quelque chose de conflictuel et de vivifiant a pratiquement disparu. Une fois ôtée, il reste à la gauche française que la sensiblerie et gémir à longueur de temps. Il faut perpétuellement pleurnicher sur la période d'esclavage des noirs, des camps de concentration, du tiers-monde, des immigrés, des sans papiers ... faire repentance tous les quatre matins (relent de l'autocritique soviétique). On en viendra sans doute à faire repentance d'avoir fait repentance. Certains hommes politiques dits de droite aux nerfs fragiles comme Gilles de Robien en viennent même à craquer par contagion. Quant à l'Eglise on attend toujours qu'elle fasse repentance pour la condamnation à mort de Jeanne d'Arc.
Les socialistes français veulent parait-il plus de femmes parmi les élus, mais cela semble bien inutile vue la féminisation intellectuelle et psychologique des hommes politiques actuels. Cela n'apporterait pas grand-chose de plus pour eux-mêmes et leurs idées.
Face à tout ceci, le mouvement de la droite nationale prône de nouveau la masculinité et la revirilisation de la culture et des valeurs. Il faut sortir enfin de la pensée rousseauiste qui, comme par hasard, est au programme du bac pour les lycéens sans doute pour un peu plus décerveler notre jeunesse.
Avec cette pensée écolo-socialiste la France a perdu toute faculté de préservation et d'esprit combatif face aux défis qu'elle connaît. L'Europe des fédérastes, idée molle et avachie ne pouvait que séduire la gauche socialiste et les partis du centre qui veulent l'épurement de toutes les entités et des caractères. On a d'ailleurs une curieuse conception de l'Europe de la Paix quand, dans le même temps, on édifie de véritables ghettos dans les banlieues au nom de l'idéologie, qui seront de véritables poudrières pour demain.
De la sensiblerie ne naissent que la faiblesse et le dépérissement de soi. L'homme blanc doit redevenir le guerrier qu'il a été dans son Histoire. Cela semble de nouveau possible avec le renouveau national auquel on assiste.
PATRICE GROS-SUAUDEAU -2009

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