La climatologie est une science à peu près aussi rigoureuse et incontestable que la divination de foire. C’est la conclusion à laquelle nous conduit le GIEC, autrement décliné, de façon plus pédante, Groupe d’experts (sic) intergouvernemental sur l’évolution du climat.
Rappelons que ce « machin » a été créé à la fin des années quatre-vingt, sous l’égide de l’ONU, avec pour « mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine ». D’emblée, il s’agit de traquer les pollueurs qui détraqueraient la météo !
Poser comme postulat indiscutable l’origine anthropique du dérèglement climatique est une attitude des plus ascientifiques. Ici, l’axiome relève d’un pur acte de foi, le GIEC se muant, pour l’occasion, en synode quasi conciliaire pour prêcher, urbi et orbi, le nouvel Évangile droit-de-l’hommard du climat unique ! Mais on n’a que faire de la science en cette affaire, pourtant sérieuse, puisque la moraline moralisatrice de ses dispendieux rapports est couverte par l’onction d’un hallucinant prix Nobel décerné à l’institution en 2007. [...]
Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire
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