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Famille : le pire est à venir

ENTRETIEN - La ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, ne veut pas rester « figée sur un modèle unique ». L’enfant sera au cœur de sa future loi. [ce qui est contradictoire avec la promotion d’anti-modèles ! NDLR]

Un entretien très, très complaisant du Figaro...

Lundi prochain, la ministre Dominique Bertinotti présentera les quatre groupes de réflexion qui prépareront la future loi sur la famille qui devrait être examinée en Conseil des ministres en janvier prochain. Elle nous livre les premières pistes, s’explique sur la PMA et la GPA et s’interroge sur les desseins de la Manif pour tous.

LE FIGARO. - De nombreuses familles, et de plus en plus de classes moyennes, ont le sentiment d’être ciblées par les mesures fiscales du gouvernement. Pouvez-vous vous engager à ne plus toucher à la politique familiale jusqu’à la fin du quinquennat ?

Dominique BERTINOTTI. - La mesure essentielle concerne l’abaissement du plafond du quotient familial. Cela touche de 12 à 13 % des familles, les plus aisées. En clair, un couple avec deux enfants ayant jusqu’à 5800 euros nets mensuels n’est pas concerné : c’est le cas de 87 à 88 % des familles ! Dans le même temps, cela nous permet d’avoir une politique très dynamique en la matière de développement des services aux familles. En particulier, de créer 275.000 places d’accueil pour les 0-3 ans sur cinq ans, ce qui concerne, là, tous les milieux sociaux. Il faut nuancer énormément ce que l’on appelle le « matraquage des familles » : après impôt, il vaut mieux être un enfant dans une famille aisée que dans une famille modeste ! Le but est d’avoir une politique familiale plus juste, qui corresponde aux nouvelles attentes des familles. [...]

La suite dans Le Figaro

http://www.actionfrancaise.net/craf/?Famille-le-pire-est-a-venir

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