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Les ficelles usées de l’antiracisme malodorant…

Pas de quoi avoir la banane en ces temps de totalitarisme idéologique. Ras le bol de ces bûchers allumés, çà et là, par les Torquemada de cette pseudo-gauche en perte de vitesse ! Minute fait sa une – bête et méchante, aurait, naguère, clamé feu Hara-Kiri – sur un ministre malgré tout impopulaire – qu’une impudence infatuée fait opportunément sortir du bois –, voilà la machine d’État – pachyderme impotent depuis que Bruxelles la supplée en tout – qui sort de sa torpeur, s’ébroue et expectore en un râle moribond une indignation bon marché, jusque-là réservée aux valets stipendiés du MRAP et de SOS Racisme.

Au lieu d’affronter les problèmes du jour que sont les dramatiques fermetures d’usines, les licenciements douloureux ou le chômage endémique, Hollande, s’inspirant de son maître Mitterrand – le talent et la culture en moins –, tire les ficelles usées de l’antiracisme malodorant, avatar de l’antifascisme des années trente. Hollande est contesté, conspué même, le « gouvernement » conchie sur le peuple de France qui n’en peut mais. Et tout le monde se met à entonner le couplet de la « République en danger », des « valeurs bafouées » d’icelle et de son corollaire indispensable, la « terrrrible » extrême droite, cette brechtienne « bête immonde » au « ventre encore fécond ».

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