Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dédiabolisation, banalisation ou normalisation ?

Depuis plus d’un an, les résultats successifs aux élections partielles montrent un désintérêt grandissant des électeurs qui se réfugient en masse dans l’abstention.
La cause principale réside ici dans le fait que les partis de la mafia socialaud-démocrato-écolo-capitaliste refusent de se remettre en cause, font preuve d’un total manque d’imagination et surtout d’un aveuglement idéologique.
Ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu mettre leurs promesses en œuvre et se retranchent derrière les diktats de Bruxelles pour justifier leur incompétence, leur incapacité et leur veulerie. Est-ce la fin du front « ripouxblicain » ?
Évidemment  les électeurs, qui sont souvent des contribuables et des parents, ouvrent lentement mais sûrement les yeux et constatent que de Brest à Bucarest et de Nice à Stockholm, les mêmes maux pourrissent le quotidien des Européens, ceci grâce en partie aux réseaux sociaux et à Internet, en sus des médias conventionnels.
Rien n’a changé depuis 40 ans ! Le mondialisme pervers accepté par nos dirigeants -au travers des accords du GATT, puis de l’OMC- a conduit nos économies dans un champ de ruines.
L’immigration sauvage, imposée par les gourous de la société multiculturelle, est un échec absolu et coûte des centaines de milliards d’euros aux contribuables européens.
L’insécurité permanente est un fléau social que les gouvernements traitent avec amateurisme, préférant appliquer le culte de l’excuse pour les délinquants, sans s’occuper de la réelle souffrance des victimes.
La multiplicité des drogues occasionne des ravages parmi notre jeunesse à qui l’on enseigne des fadaises dans nos écoles, au lieu de leur inculquer les valeurs qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et partout dans le monde.
Ne parlons pas de la pression fiscale qui augmente année après année, en écœurant ceux des travailleurs qui sont encore animés par une conscience professionnelle et le goût du travail bien fait. À tel point que les entrepreneurs les plus actifs vont exercer leur talent dans des pays plus accueillants.
Comment dès lors s’étonner que les partis nationalistes recueillent tous les déçus des lendemains qui déchantent ?
Pourquoi être surpris que des bataillons de mécontents rejoignent actuellement ceux qui défendent la préférence nationale d’une part, mais aussi le bien commun ? Et que la caste politico-médiatique, qui durant des décennies a craché sur les mouvements non-conformistes, soit aujourd’hui acculée à reconnaitre ses torts face à la réalité ?
Mais ce qui est absolument délicieux, c’est d’entendre certains (nes) déclarer qu’ils se sont  « normalisés », alors qu’ils étaient catalogués hier comme « sulfureux », « nauséabonds », ou « infréquentables ».
Le diable s’est-il habillé en Zara ? La démocrasse est-elle en danger ?
Pieter KERSTENS
http://www.francepresseinfos.com/2013/11/dediabolisation-banalisation-ou.html#more

Les commentaires sont fermés.