50 000 Grecs ont exigé la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes
Samedi 30 novembre dernier, 50 000 Grecs composés de députés, de nombreux militants et sympathisants de l’Association Populaire Aube Dorée (« Golden Dawn ») venant des quatre coins de la Grèce, ont manifesté sur la Place Syntagma, au Centre d’Athènes.
C’est face à l’actuel Parlement grec et du Monument du Soldat Inconnu, qu’ils ont exigé la justice et la libération immédiate des prisonniers politiques de l’Aube Dorée : le chef Nicos Michaloliakos ainsi que deux membres, Christos Pappas et John Hare.
Ces dizaines de milliers de nationalistes ont formé un océan de drapeaux et de torches dans le centre de la capitale, et ont scandé divers slogans (« La Grèce appartient aux Grecs !… »).
Le temps fort de la soirée fut la lecture des messages des prisonniers politiques de l’Aube Dorée. La foule a ensuite repris en cœur et a fait résonner l’hymne de la Golden Dawn et l’hymne national sur la place. Un message fort a ainsi été adressé aux voyous : la Grèce va gagner !
Malgré la décision expresse de la police d’interdire les marches et autres manifestations, pas une seule arrestation n’est à déplorer. Le peuple grec n’a pas cédé et ne s’est pas laissé intimider par l’état des magouilles, état qui prétend pouvoir fermer tous les bureaux de la Golden Dawn en Grèce.
Aube Dorée a prouvé qu’elle pouvait compter sur un important soutien populaire, qui fait espérer de bonnes choses pour l’avenir, en dépit de la répression et des manipulations médiatiques.
Le quotidien d’information britannique The Guardian, qui rapporte régulièrement mensonges et désinformation au sujet de Golden Dawn, a été contraint de reconnaître, après la démonstration de force de samedi, que le mouvement nationaliste laïc est devenu la force politique dominante en Grèce.
Des sondages réalisés pour le compte de partis gouvernementaux révèlent par ailleurs qu’Aube Dorée atteindrait les 17 %, faisant de ce parti le 3ème parti du pays.
Le 2 décembre, la Cour d’Appel a rejeté la demande de libération sous caution du chef de la Golden Dawn, qui reste l’otage du régime alors qu’aucune circonstance aggravante n’est retenue contre lui. Son seul crime ? Son opposition à la dictature des corrompus.
Seulement, dans la conscience du peuple grec, la Golden Dawn s’est imposée comme la seule source de résistance nationale.
L’Aube se lève à peine….
Samedi 30 novembre dernier, 50 000 Grecs composés de députés, de nombreux militants et sympathisants de l’Association Populaire Aube Dorée (« Golden Dawn ») venant des quatre coins de la Grèce, ont manifesté sur la Place Syntagma, au Centre d’Athènes.
C’est face à l’actuel Parlement grec et du Monument du Soldat Inconnu, qu’ils ont exigé la justice et la libération immédiate des prisonniers politiques de l’Aube Dorée : le chef Nicos Michaloliakos ainsi que deux membres, Christos Pappas et John Hare.
Ces dizaines de milliers de nationalistes ont formé un océan de drapeaux et de torches dans le centre de la capitale, et ont scandé divers slogans (« La Grèce appartient aux Grecs !… »).
Le temps fort de la soirée fut la lecture des messages des prisonniers politiques de l’Aube Dorée. La foule a ensuite repris en cœur et a fait résonner l’hymne de la Golden Dawn et l’hymne national sur la place. Un message fort a ainsi été adressé aux voyous : la Grèce va gagner !
Malgré la décision expresse de la police d’interdire les marches et autres manifestations, pas une seule arrestation n’est à déplorer. Le peuple grec n’a pas cédé et ne s’est pas laissé intimider par l’état des magouilles, état qui prétend pouvoir fermer tous les bureaux de la Golden Dawn en Grèce.
Aube Dorée a prouvé qu’elle pouvait compter sur un important soutien populaire, qui fait espérer de bonnes choses pour l’avenir, en dépit de la répression et des manipulations médiatiques.
Le quotidien d’information britannique The Guardian, qui rapporte régulièrement mensonges et désinformation au sujet de Golden Dawn, a été contraint de reconnaître, après la démonstration de force de samedi, que le mouvement nationaliste laïc est devenu la force politique dominante en Grèce.
Des sondages réalisés pour le compte de partis gouvernementaux révèlent par ailleurs qu’Aube Dorée atteindrait les 17 %, faisant de ce parti le 3ème parti du pays.
Le 2 décembre, la Cour d’Appel a rejeté la demande de libération sous caution du chef de la Golden Dawn, qui reste l’otage du régime alors qu’aucune circonstance aggravante n’est retenue contre lui. Son seul crime ? Son opposition à la dictature des corrompus.
Seulement, dans la conscience du peuple grec, la Golden Dawn s’est imposée comme la seule source de résistance nationale.
L’Aube se lève à peine….