Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Des journalistes soumis et serviles qui font honte à leur profession !

Coup de gueule d'un blogueur lu ici :

"On voit bien, en regardant ce décor de théâtre d’ancien régime digne de Disneyland, que ces “conférences de presse” présidentiellles ne sont qu’une vaste mise en scène destinée non pas à “informer” mais à faire estampiller “média” une simple propagande officielle récitée au pupitre. Tout est organisé pour congeler la parole comme en Corée du Nord : il y a un Président, rigide derrière son pupitre conçu pour dominer l’espace. Il y a le carré monolithique de ministres déférents et au garde à vous. Il y a d’autres personnes — que je me refuse à appeler des “journalistes” car ils n’ont pas le courage de poser des questions — qui sont “accrédités” à l’Élysée, donc déjà suspects à mes yeux. Et il y a enfin un “préposé officiel au micro-baladeur” qui ne va solliciter que les bonnes questions sans autoriser le moindre droit de suite !

C’est finalement Alain Barluet qui, dans un tardif sursaut d’honneur, lâche la vérité : près d’une heure après avoir posé sa question sur Valérie Trierweiler, il dit sur Twitter ce qui aurait du faire la “Une” de tous les médias le lendemain :

Elysee_confpresse_c_londres
Les “journalistes” Français n’ont pas le droit de poser de questions embarrassantes. Ils sont aux ordres, complaisants, déférents, obéissants, obséquieux, prosternés, soumis ! Ils sont de la classe des journalistes courbés et reconnaissants parce que subventionnés. Ils ne sont pas seulement le déshonneur de la profession : il ne font pas honneur à la France et la Presse internationale les couvre d’ailleurs à juste titre de ses quolibets (...)"

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/des-journalistes-soumis-et-serviles-qui-font-honte-%C3%A0-leur-profession.html

Les commentaires sont fermés.