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Lampedusa charrie chaque jour son lot de morts : arrêtons net l’immigration !

Nous ne pouvons plus laisser des migrants mourir dans des conditions dramatiques alors que nous n’avons, par ailleurs, plus rien à leur offrir.   

Jean Raspail publiait en 1973 son roman Le Camp des saints. Succès jamais démenti, cette œuvre prophétique décrit les conséquences d’une arrivée massive de cargos chargés d’immigrants extra-européens, qui échouent sur la Côte d’Azur. La première édition comportait une citation datée de Jean Raspail, plutôt interrogative quant au futur des flux migratoires. Chaque réimpression de l’ouvrage fut l’occasion, pour lui, de changer cette citation. À mesure que cette arrivée massive de migrants s’intensifiait dans le temps, son état d’esprit évolua. D’abord révolté, il semble aujourd’hui presque résigné. Jean Raspail avoua lui-même s’être trompé sur les modalités de l’« invasion » mais pas sur le fond. Il n’y a jamais eu l’arrivée d’un million de migrants en même temps, mais plutôt une infiltration constante dans le temps.

Lundi 12 mai 2014, 41 ans après la publication de l’ouvrage, une embarcation chargée d’immigrants clandestins s’est échouée au large de l’île de Lampedusa en Italie. La marine italienne a pu sauver près de 200 personnes de ce naufrage, mais certains n’ont pu en réchapper. Des morts qui s’ajoutent à une triste liste de kamikazes sacrifiés au nom d’un rêve biaisé et destructeur. Déjà, le 3 octobre dernier, 350 migrants avaient péri près de Lampedusa. Nos bonnes âmes s’en émeuvent à chaudes larmes dès qu’on leur tend un micro ; ils sont pourtant les premiers responsables de ces malheurs.

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