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Partout, l’Etat démissionne…

Quand un État renonce à exercer son autorité sur les crapules, alors cet État se destine lui aussi au désastre.   

Que le football vous inspire ou vous afflige, peu importe. Dans deux semaines, et pour un mois, les capitales européennes vivront à l’heure brésilienne. Sur leurs plus grandes places, elles s’apprêtent à retransmettre les matches sur écrans géants, permettant à des milliers d’amoureux du ballon rond de communier autour de leurs équipes nationales. A chaque fois, se seront des joies, de l’exaltation, des embrassades, des flots de drapeaux en furie, mais aussi, selon l’évolution des scores, des sentiments et des ambiances strictement opposés.

Il y a toutefois une exception. Une capitale, une seule, sera privée d’écrans géants : Paris. En effet, la préfecture de police a décidé qu’il était prudent de ne pas prendre le risque de voir se reproduire les pillages commis l’an dernier au Trocadéro, lorsque le PSG y fêta son titre.

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