La loi Duflot repose sur un dogme écologique gravé dans le chaume : la densité (nombre d’habitants par km2).
Même expurgée de ses avatars les plus improductifs dont les conséquences, avant même que la loi ait été décrétée, ont été la dépression des petits propriétaires et la fossilisation du marché immobilier, la loi Duflot repose sur un dogme écologique gravé dans le chaume : la densité (nombre d’habitants par km2).
La densité, c’est entasser le plus de monde possible sur la surface la plus petite. Paris a déjà une des plus hautes densités au monde (avec Hong-Kong et Le Caire). L’idée, en ce qu’elle se veut écologique, est que cela optimise les infrastructures, de transports notamment. En effet, il n’est pas a priori idiot de penser qu’il est inutile de construire tramways ou métros si ce n’est pas pour les utiliser au maximum.