Les magistrats bisontins ont confirmé qu’en France, le délit de blasphème n’existait pas encore.
Les juges de la cour d’appel de Besançon seraient-ils de dangereux islamophobes se réjouissant que le discours haineux à l’encontre de la si paisible religion d’amour, de tolérance et de paix (RATP) se répande dans toute la France ?
Toujours est-il que ces magistrats ont désavoué leurs confrères de Belfort, qui avaient condamné Christine Tasin à 3.000 euros d’amende (le procureur Chevrier avait même requis 3 mois de prison avec sursis). Ils ont relaxé cette « blasphématrice » qui, le 15 octobre 2013, face à des musulmans énervés qui lui reprochaient sa supposée islamophobie, avait répondu : « L’islam est une saloperie. »