Une répression accrue de l'apologie des attentats a été mise en œuvre au point que, le 15 janvier, on avait déjà procédé à 54 interpellations pour ce motif.
Plus une démocratie est attaquée, plus les crimes sont odieux et répétitifs, plus l’émotion collective est intense et sincère, plus, la tempête sanglante à peine apaisée, surgissent dans l’espace public, et avec une ostentation signifiante, des déséquilibrés, des malades ou des irresponsables que les tragédies excitent, stimulent au lieu de les faire taire.
Il y a aussi d’authentiques et résolues apologies du terrorisme qui peuvent être sanctionnées, si elles ont « utilisé un service de communication au public en ligne », par une peine maximale de 7 ans d’emprisonnement.
Une répression accrue de l’apologie des attentats a été évidemment mise en œuvre au point que, le 15 janvier, on avait déjà procédé à 54 interpellations pour ce motif.