C’est le constat amer que l’on peut dresser quand on se souvient du cruel bilan des attentats de la gare Atocha à Madrid en mars 2004 et ceux de Londres en juillet 2005. En Espagne effectivement, les forces de l’ordre connaissaient le terrorisme basque depuis plus de 30 ans, alors que dans la capitale anglaise, des dizaines de milliers de caméras observaient le moindre geste suspect.
Il en va de même aujourd’hui avec les déploiements de l’armée aux abords des synagogues, des mosquées, des bâtiments publics ou de lieux à forte concentration populaire.
Partout en Europe les gouvernements ont sorti leur panoplie hystérique et brandissent le bouclier « Padamalgam » afin d’empêcher le peuple de désigner l’ennemi, puisque selon eux, la guerre au terrorisme est déclarée. Car enfin, de Merah à Coulibaly en passant par Nemmouche et Kaouchi, ce ne sont pas des bouddhistes fanatiques, mais bien des musulmans (grands criminels multirécidivistes) qui sont les auteurs des récentes tueries au nom de « Allah Akbar ! » confirmant ainsi la relance d’une guerre de religion ancestrale. On remarque par ailleurs que le plan Vigipirate n’empêche en rien les bandes de racailles de dévaliser les passagers du RER et de poignarder les plus faibles pour quelques euros.
« Je suis Charlie », « Je suis danois », « Je suis Bardo» : OUI. « Je suis Maaloula », « Je suis Maïduguri », « Je suis Sanaa » : combien de bougies, combien de manifs… ? ? ?
A croire que les lunettes roses des laquais du Nouvel Ordre Mondial occultent les persécutions et les assassinats que subissent les chrétiens -et d’autres- dans l’arc musulman depuis 50 ans. Au nom du « vivre ensemble », les pantins européens nous imposent leur vision frelatée d’une société multiculturelle et pluriethnique qui se désagrège au fil du temps.
Cà et là, quelques courageux polémistes, intellectuels et criminologues tentent d’établir une analyse accablante sur les conséquences néfastes de l’envahissement de l’Europe par des individus qui ne cherchent ni à s’intégrer ni à s’assimiler à nos sociétés fondées sur des traditions, des us, des coutumes et des règlements hérités d’une culture et d’une civilisation européenne multiséculaire. Il en va de même pour une grande partie d’immigrés nés sur notre sol, qui revendiquent des comportements et des usages incompatibles avec nos lois.
Plus grave : les marionnettes pseudo-humanistes interdisent toute forme de contestations et refusent le débat des idées, au motif que seules leurs valeurs « citoyennes » seraient acceptables. Ils vivent dans une sphère aseptisée, hors des réalités du quotidien, entre initiés, seuls détenteurs de la vérité. Ils ignorent le mécontentement populaire, l’exaspération des citoyens et le désespoir de ceux « d’en-bas ».
Et cela ne date pas d’hier. En désignant les volontaires partis faire le djihad en Irak, en Syrie (après avoir désigné Bachar Al-Assad comme « l’homme à abattre »), en Lybie, au Mali ou ailleurs, comme étant des terroristes, ils oublient que lors de précédents conflits en Afghanistan en 1980, en Irak en 1991, en Tchétchénie en 1991, en Bosnie en 1992, au Kosovo en 1998, à nouveau en Afghanistan en 2002 et encore en Irak en 2003, des milliers d’européens étaient partis combattre aux côtés des islamistes au nom « d’Allah le Tout Puissant ! ». Certains de ces djihadistes sont restés sur place, mais la grande majorité est rentrée en Europe. Combien de tueries ont-ils commis chez nous ces 30 dernières années ? Combien d’attentats à la bombe ou à la voiture piégée comme au Proche-Orient ?
La 5ème colonne n’est pas à Damas, à Mossoul ou à Tunis, elle s’est déjà formée dans nos banlieues avec la complicité de nos politicards. Ces collabos de l’immigration/invasion, ceux-là mêmes qui depuis des décennies ont vidé les églises pour remplir les mosquées (qui forment et informent les futurs « terroristes ») et nous imposent la nourriture hallal dans les cantines, afin de complaire à de futurs électeurs ; ces clowns tristes responsables du déclin et de la décadence de nos pays ont imaginé maintenant des quartiers d’isolement pour islamistes dans nos prisons et une nouvelle restriction pour tous de la liberté d’expression.
Mais à ceux qui pensent que le problème commence en prison, je dis NON, il commence, pour certains, en classe primaire. Touche pas à mon pote ?
Pieter KERSTENS.
NB : ce fut un véritable régal de voir les contorsions verbales de tous les ténors de la secte politico-médiatique le soir du 22 mars face aux nets progrès du F.N…quelle réjouissance !