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Et ça ne choque personne ! Aucun média ne s’offusque de cette volonté assumée du juif Zuckergerg (fondateur de Facebook) de discriminer les hommes blancs au profit de toutes les autres origines… Nous vivons dans un monde incroyable ou les peuples blancs acceptent sans broncher leur disparition programmée.
Facebook revoit ses règles de recrutement. Afin de diversifier les origines et le genre de ses employés, le réseau social teste actuellement l’application de la «Rooney Rule». Ce procédé, né en 2003 au sein de la Ligue nationale de football américain (NFL), entend faciliter le recrutement d’employés issus de la diversité, notamment dans les postes à responsabilité. La règle est simple: elle suppose qu’un recruteur doit rencontrer au moins un candidat qui ne soit pas blanc. L’idée n’est pas d’imposer un quota de recrutement, mais de faciliter l’accession à des entretiens aux personnes issues de la diversité. Il y a quinze ans, la NFL comptait seulement deux managers non blancs, sur ses 32 équipes. Ce chiffre est aujourd’hui de six. La proportion de managers assistants non blancs est quant à elle passée de 16% en 1991 à 29% en 2013.
57% d’employés blancs
Facebook teste actuellement cette approche dans certains de ses départements, «afin d’inciter les recruteurs à rencontrer des candidats qu’ils n’auraient pas rencontrés autrement», explique le Wall Street Journal. Interrogée par le journal américain, une porte-parole de l’entreprise a confirmé l’existence du projet, sans donner plus de détails.
Il est probable que cette règle soit adaptée pour faciliter le recrutement de personnes non blanches mais aussi de femmes. En 2014, Facebook avait dévoilé que ces dernières représentaient seulement 31% de ses employés et 15% de ses ingénieurs. Par ailleurs, 57% des employés du réseau social sont blancs, contre 34% d’Asiatiques, 4% d’Hispaniques et 2% de Noirs. Ce déficit s’aggrave dans les postes à responsabilité, où les personnes blanches sont représentées à 74%. Seules deux femmes siègent au sein du conseil d’administration de Facebook, dont tous les membres sont des Blancs. Le débat sur la mixité au sein des entreprises de la Silicon Valley se nourrit depuis plusieurs années de ce genre d’études. Il est légal de réaliser des statistiques éthniques aux États-Unis. Ce n’est pas le cas, par exemple, en France.
Source : Le Figaro