Le Bloc Identitaire Lyon a été le premier mouvement politique à parler de cette affaire. Pour donner un éclairage nouveau, voici une liste non exhaustive d’actes de haine anti-française à Vénissieux (69)
A Vénissieux, un boulanger exerçant dans le quartier du Moulin-à-vent fait l’expérience douloureuse du mirage du « vivre-Ensemble » cher à nos dirigeants politiques. Face au racisme anti-Français d’une bande de racailles, sa boulangerie est obligée de fermer à 15 h. Une situation qui l’empêche de développer son chiffre d’affaires et de pouvoir embaucher du personnel !
Le quotidien du personnel de la boulangerie est fait de menaces, d’insultes et de coups, car selon le boulanger les racailles « lui reprochent de mettre du porc dans certains produits. » (Le Progrès, 23/08/2015)
Pour l’instant, ni la mairie de Vénissieux, ni la préfecture, ni les associations antiracistes n’ont souhaité apporter leur aide ou dénoncer ces violences anti-françaises.
Pourtant, cette haine à l’encontre des Français est devenue une réalité banale à Vénissieux.
Déjà en 1981, après des émeutes aux Minguettes, ce quartier enregistrait « un départ massif des Français » fuyant l’insécurité et la promiscuité avec une population immigrée multipliée par trois, passant de 15 % à 45 % des habitants !
Las d’être pris à partie du fait de la couleur de leur peau, les « Gaulois » ont préféré fuir Vénissieux. En 1981, pour Mokrane Kessi – aujourd’hui conseiller municipal à Vénissieux et adolescent aux moments des faits —, les tensions raciales étaient l’une des motivations principales des émeutiers :
On avait parfois le sentiment que l’on ne pouvait pas descendre dans le centre de Vénissieux. On sentait une certaine animosité entre les deux quartiers. C’était, en quelque sorte, la cité des immigrés contre la ville des Blancs.
Et cette situation n’a cessé d’empirer avec les années. L’ancien maire communiste de Vénissieux (de 1985 à 2009), André Gerin, l’a d’ailleurs avoué, «
dès les années 90, on commence à voir dans certains quartiers l’antisémitisme, le racisme anti-blanc, le sexisme. Nous avons ignoré le problème.
Il ne reste à Vénissieux, comme dans beaucoup de villes de banlieue, que très peu de Français de souche. Une situation particulièrement difficile à vivre pour les Françaises de souche, qui se retrouvent de fait en première ligne face au Grand Remplacement. Le témoignage de Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes, dans un reportage du journal de 20 h de Tf1 donne un aperçu de la vulnérabilité de ces jeunes femmes. Elle déclare avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estime « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».
Plus de quarante ans de silence, d’aveuglement et de mensonges des pouvoirs publics ont conduit à cette situation, dont chacun sait qu’elle mènera à une issue dramatique.