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La Malika Sorel allemande alerte sur l’invasion migratoire

Malika Sorel a disparu de tous les radars médiatiques d’une presse aux ordres. Heureusement qu’en Allemagne, qui n’est pas un modèle de liberté d’expression, certains et certaines ont encore droit à la parole et ne s’en privent pas.

Necla Kelek, célèbre sociologue et écrivain allemande, d’origine turque, musulmane, grande amie de mon regretté ami Ralph Giordano, écrivain, rescapé de l’Holocauste, devenu la conscience de l’Allemagne après le « coming out » de Günther Grass sur son passé SS, prend la parole en Allemagne.

Necla Kelek est une sorte de Malika Sorel, que l’on n’aurait pas bâillonnée.

Pour Focus, concurrent du Spiegel, Necla exige : « La société allemande doit montrer les limites aux réfugiés, car avec eux arrivent des conflits ethniques, religieux et culturels. »

Les derniers faits concernant des conflits entre musulmans et chrétiens dans les lieux de premier accueil provoquent beaucoup d’inquiétudes aux associations et autres bénévoles. Petit à petit, les Allemands se rendent compte : ce sont deux tiers de jeunes gens sous la trentaine, qui ont pris des risques pour se rendre en Europe. Ils sont peut-être, ou non, les éclaireurs pour leurs femmes et enfants qui attendent de les rejoindre. Ils ont tous grandi dans des pays islamiques, dans lesquels règne la guerre depuis des années. En Afghanistan depuis plus de trente ans, en Irak depuis plus de dix ans et en Syrie depuis plus de cinq ans. Leur imprégnation culturelle est faite de violence et de la soumission des femmes aux hommes au sein de leur communauté religieuse clanique… ce qui fait une énorme différence avec notre sens de la liberté. Certains ont fui cette calamité. Mais tous arrivent avec cette imprégnation qui se différencie fondamentalement de notre société.

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