L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ».
Vous pouvez le trouver écrit noir sur blanc sur le site du Parlement européen : « Avant la mise en œuvre de la législation européenne y afférente, seuls 2 % des marchés publics étaient adjugés à des entreprises non nationales. » Depuis, nos entreprises sont soumises à une concurrence déloyale, et sortent souvent perdantes lors des attributions de marchés publics, notamment dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, de l’énergie, ou bien encore des télécommunications.
L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ». Pour attribuer les marchés publics, les pouvoirs adjudicateurs se fondent désormais uniquement sur l’offre économiquement la plus avantageuse, c’est-à-dire la moins chère. La qualité ? Ils s’en moquent. Le patriotisme économique ? Ils s’en moquent encore plus. Les normes sociales et environnementales ? Elles sont purement et simplement oubliées.