Tunisien, Salem Ben Ammar, docteur en sciences politiques, lutte pied à pied contre l’islam et notamment contre l’islam intégriste qui a fait la ruine de son pays. Dans ce texte, il parle au nom d'Allah, à tous ceux qui font le lit de l'islamisme en favorisant l'islam :
"« Je veux t’anéantir parce que tu es témoin de mon imposture. Ainsi il n’y aura plus personne qui peut contester ma vérité que je suis à l’origine de tout et la seule voie authentique pour l’humanité. »
Allah est clair et cohérent avec lui-même.
« Je veux avoir ta peau que tu croies ou pas en moi, je tue aussi bien les miens que mes détracteurs, tu finiras comme les Juifs de la Médine. » « Aujourd’hui tu voles au secours de ma cinquième colonne, sans savoir que tu es entrain de leur aiguiser les couteaux de boucher qui leur serviront de te décapiter le moment venu comme mes petits soldats de Daech le font en Irak, Syrie et Libye ». »
Pauvre incrédule et niais que tu es, tu as beau te proclamer laïque, athée, agnostique, chrétien, juif, bouddhiste, taoïste, déiste, tu n’échapperas pas à la triste fin que je te réserve ». Tu penses bien que je ne ferai preuve de mansuétude à ton égard parce que tu as été charitable avec les miens.
Je suis fermé à l’amour et à la compassion. Kali, Châmundâ et Thanatos sont des enfants de choeur comparé à moi.
Je ne me compare à personne, ni Borgia, ni Dracula, ni Frankestein, ni Hitler, ni Staline, ni mon bras droit le petit bâtard en mal d’affection Mahomet, je me compare à même. Je les ai créés pour vous donner un avant-goût de ce dont je suis capable de faire. Vous n’avez pas fini avec moi, l’enfer des juifs et des chrétiens n’est pas grand’chose à côté à la Géhenne où je m’enivrerai de votre sang et je me goinfrerai de votre chair.
Mon livre est suffisamment éloquent quant à ma haine de l’humain y compris de ces pauvres esclaves que mon lieutenant de basses besognes a roulés dans le sable en leur faisant prendre les vessies pour les lanternes. Trop idiots pour comprendre qu’ils sont les premiers dindons de la farce.
Les promesses lubriques et graveleuses ne m’engagent rien elles n’engagent qu’eux-mêmes.
En leur faisant miroiter le sexe et l’alcool à gogo j’ai juste voulu chercher savoir ce qu’ils ont réellement entre les jambes et tester leur degré de fiabilité morale, ils sont tombés dans le piège les deux pieds joints comme les derniers des décérébrés.
Cupides et stupides ils ont mordu à l’hameçon, je n’y suis pour rien, s’ils ont pris mes promesses pour de l’argent comptant. Des bons à rien, des mecs qui réfléchissent avec leurs babouches et aux neurones logés dans leur paire de bourse, le jour où ils auront découvert qu’ils ont été menés sur un dos de chameau ce sera trop tard pour eux car j’aurai fini de me délecter d’eux.
Ils ont perdu doublement la partie. Leur vie sur terre qui est la vallée de la mort et dans l’au-delà où il n’y a rien de vrai dans ce que mon escroc de messager qui voulait me faire de l’ombre, en se voulant s’élever au-dessus de mon auguste personne, leur a seriné.
Que les âmes charitables qui jouent aux bons samaritains avec mes ouailles sachent ils n’auront rien à attendre de moi.
Ce sera la Géhenne pour eux et ma cinquième colonne qu’ils sont en train de choyer et courtiser se chargera de les y envoyer."