Plus de 5000 autrichiens sont descendus dans les rues de Vienne hier en réponse à l’appel du FPÖ – un parti autrichien – pour manifester contre les centres pour envahisseurs non-blancs dans la ville.
D’après un communiqué publié sur le site internet du FPÖ Vienne, les « citoyens de Vienne ne seront plus ignorés scandaleusement ».
[ndt : on se demande bien pourquoi une manifestation pacifique ferait réagir le régime… Cela peut être utile pour se compter, mais ça n’a aucun effet politique concret, soyons sérieux.]
« Lors de la manifestation du FPÖ d’aujourd’hui, plus de 5000 viennois ont marché pacifiquement contre les innombrables ‘centres d’asile’ dans la capitale fédérale », a aussi indiqué le communiqué.
Lors de la manifestation, le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déclaré à la foule : « Les citoyens ont été tenus de tolérer la folie socio-politique de la politique d’asile bâclée du gouvernement depuis des mois. »
« N’oublions pas aussi les agressions violentes quasi-quotidiennes commises par les réfugiés et les demandeurs d’asile contre notre peuple. Tant du point de vue social que financier, ce sont les viennois qui doivent porter ce fardeau, et ils ne l’acceptent pas. »
Johann Gudenus, maire adjoint de Vienne et membre du FPÖ, a aussi participé à la manifestation. Il a déclaré que la « culture de l’accueil verte-rouge » (en référence à la coalition dirigeante de la ville entre le parti socialiste autrichien et les verts) est la « cause derrière l’urgence sécuritaire à laquelle fait maintenant face Vienne ».
Le chef du FPÖ à Liesing, quartier de la périphérie de Vienne, le conseiller municipal Wolfghang Jung, a révélé que le parti y avait collecté plus de 7000 signatures contre le centre pour envahisseurs local.
Précedemment, le journal Krone avait révélé avait révélé que, selon des statistiques officielles de la police judiciaire autrichienne (la Bundeskriminalamt),la moitié des « demandeurs d’asile » ayant envahi l’Autriche de 2003 à 2014 avait été inculpés pour des crimes et délits.
Ces crimes ont été commis principalement par les envahisseurs originaires d’Algérie (155 pour 100 demandeurs d’asile), de Géorgie (151) et du Nigéria (129). Ces statistiques n’incluent pas l’année 2015, lors de laquelle la plupart des envahisseurs sont arrivés.