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TRUCAGES ET MENSONGES, LES DEUX MAMELLES DE LA GAUCHE (par l’Imprécateur)

Que veut cacher le gouvernement ? Une demande sidérante du parquet de Paris, dont le procureur est très médiatisé comme porte-parole du gouvernement à chaque attentat, est parvenue à la mairie de Nice : détruire les vidéos de 24 heures d’images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l’attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.

De bonnes raisons sont invoquées : Le parquet de Paris évoque un souci « d’éviter la diffusion non contrôlée de ces images« , et une justification juridique est donnée : les articles 53 et L706-24 du Code de procédure pénale et de l’article R642-1 du Code pénal. C’est peut-être la première fois dans l’histoire de la Justice qu’un procureur invoque la loi pour faire disparaître des preuves d’un crime ! Le plus étonnant est que la Sous-direction antiterroriste (SDAT) procédait depuis une semaine à la sauvegarde de ces documents et qu’elle n’a pas fini le travail.

Tout le monde se demande maintenant ce que les agents du Procureur de Paris ont trouvé dans les premiers visionnages pour que subitement, une semaine après le crime, mais surtout juste après que Libération ait titré « mensonge », il soit urgent d’empêcher que certaines vidéos puissent être vues par d’autres que les personnes au service des intérêts du gouvernement.

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