Le préfet de Gironde, Pierre Dartout, avait osé, ce jeudi 6 octobre, interdire le rassemblement du SIEL devant la mairie de Bordeaux organisé dans le cadre de la quinzaine « Sauvons notre pays » sous le fallacieux prétexte d’une contre manifestation appelée par les antifas.
les organisateurs, François Jay du SIEL Gironde et son Président, Karim Ouchick, n’étaient pas décidés à s’en laisser compter. Ils décidèrent donc subtilement à contourner l’interdiction du préfet.
A 16h30, au cimetière de Bordeaux, Christine Tasin, rendit un vibrant hommage à Flora Tristan devant la tombe de cette dernière. Elle expliqua la réalité de son combat pour gagner sa liberté, qu’elle n’aurait jamais pu conquérir en pays musulman.
Ensuite, alors que les antifas les attendaient devant la mairie de Bordeaux, les patriotes girondins contournèrent l’interdiction du préfet et allèrent à Talence, situeé à 5 kilomètres de Bordeaux.
Dans cette ville, gérée par les socialistes, avec l’accord du maire, vont s’installer dans 5 jours au château des Arts, cinquante clandestins venus de Calais, sans aucune concertation avec la population.
Les patriotes girondins avaient décidé de faire un pied de nez au préfet Dartout et de s’imposer à Talence en deux endroits.
A 18h30 une vingtaine de manifestants ont déployé deux banderoles devant la future habitation des clandestins refusant l’invasion migratoire et la dictature de la charia.
Pierre Cassen fit une prise de parole très appréciée par les passants qui souvent applaudissaient à tout rompre et levaient le pousse en signe d’approbation.
Mais le plus beau restait à venir.
A 19 heures, convergèrent de plusieurs endroits 150 manifestants et se retrouvèrent devant la mairie de Talence avec banderoles et drapeaux.
Karim Ouchick, président du SIEL, fit une brillante intervention, expliquant aux participants et aux nombreux passants les raisons de cette action, il fut très applaudi. Il annonça que le 5 novembre le SIEL organisera une journée nationale d’action dans les rues de Paris contre l’invasion migratoire.
Renaud Camus conclut ce rassemblement par une prise de parole dont il a le secret.
Tous les patriotes présents étaient ravis de s’être retrouvés tous ensemble et du formidable pied de nez qu’ils avaient infligé au préfet et aux collabos antifas.
Les amis du SIEL avaient fort bien organisé les choses et avaient réservé à Bègles (chez l’islamo collabo Noël Mamère) un restaurant où cinquante d’entre eux finiront la soirée.
Jeanne Bourdillon