Bernard Plouvier
Du clan Sarkozy sont venues les premières attaques à l’encontre de F2 (François Fillon), candidat déclaré de la droite molle et ultra-classique à la présidentielle. On a même vu une ex-Gardienne des Sceaux de la Ripoublique, qui n’est pas plus une rosière que sa famille immigrée n’est composée de prix de vertus, la trop célèbre Dati, susurrer que son ex-premier ministre traînait des casseroles, vraies ou imaginaires… histoire de faire parler d’elle en un moment où tout le monde trouvait que l’air était moins irrespirable depuis qu’on l’avait oubliée.
La boue n’épargne pas le mignon Macron, dont la vie privée ne regarde personne d’autre que lui-même et ses proches. Après tout, Frédéric II de Prusse fut un homosexuel exclusif (ne consommant pas un mariage conclu pour la galerie), ce qui ne l’empêcha nullement d’être le plus brillant chef d’État des années 1750-80. Quant au Grand Alexandre et à Jules César, leur bisexualité ne pèse rien en comparaison des civilisations qu’ils ont créées : l’hellénistique et, pour le second, ce que l’on nomma l’Empire romain une génération après sa mort.
Avec la troisième candidate – en dehors de ces trois-là, n’existent que des (in)utilités -, on passe de la boue à l’argent. On se fiche totalement, comme pour Macron, de la sexualité des conseillers de Marine Le Pen. En revanche, il est dommage qu’elle se laisse influencer par ceux qui cherchent à la faire évoluer d’un (timide) populisme à une ébauche de libéralisme tiédasse.
Il est évident qu’à l’issue de laprésidentielle, cette noble dame, qui sera probablement arrivée en tête au 1er tour, sera battue… par l’omnipotence de l’argent. Car il va couler à flots pour alimenter la campagne médiatique de lynchage et de mensonges grotesques, en n’oubliant le principe : « Plus c’est gros, plus c’est con, mieux ça passe ».
De cette élection (la suivante, celles des législatives, n’ayant aucune valeur puisque ne se déroulant pas selon le seul principe démocratique : celui de la proportionnelle intégrale), on ne retiendra que deux points.
Le premier aura été l’omniprésence de l’immigration-invasion et de l’islam conquérant… du moins, peut-on espérer que ces deux problèmes majeurs, qui n’en forment qu’un d’ailleurs, seront au cœur du débat politique, car il s’agit de l’avenir de notre Nation et de notre État.
Il est évident qu’une fois l’islam devenu religion dominante par l’effet de la démographie de ses adeptes, les mahométans exigeront l’application de la charî’a… des pitres la réclament déjà en Grande-Bretagne, depuis qu’un mahométan est devenu le premier maire coloré de Londres.
Or cette transformation de l’État français ne se fera pas sans que ne coule beaucoup de sang. Soit celui des Français de souche européenne, victimes de nouvelles séries de meurtres et d’attentats djihadistes. Soit celui de mahométans et de Français autochtones, lors d’affrontements ultra-violents, puisqu’après tout, il vaut mieux mourir en combattants que de vivre en esclaves, même affublés du nom de dhimmis.
Le second point, sera la recomposition de la vie politique. Grossièrement, elle sera divisée en trois gros morceaux : le (très timide) populisme à la française – soit environ 30% des voix -, la droite molle et conservatrice (environ 30%) et la coalition des marécages centristes et de la gauche caviar (les partisans de mignon-Macron, soit également 30% des voix)… resteront 10% de dinosaures marxistes et d’écolos-ignares, histoire de mettre un peu de folklore franchouillard, pour pimenter la sauce.
Or l’on pourrait, éventuellement, éviter que le sang coule à flots. L’unique alternative à la guerre civile, guerre de races et de religion, est l’accès très démocratique au Pouvoir - grâce à un triomphe électoral indiscutable, même pour les très malhonnêtes commentateurs des media globalo-mondialistes - d’un authentique gouvernement populiste, qui débutera une politique de « grand retour » vers leurs continents d’origine des immigrés-envahisseurs, associée au respect scrupuleux des lois de séparation des cultes et de l’État, ainsi qu’à une politique économique réellement nationale.
En un mot comme en cent, il est absolument nécessaire de faire comprendre aux Français de souche européenne, qui sont encore majoritaires dans le pays, qu’il est urgent d’acquérir à une mentalité continentale, pour des raisons non pas de stupide racisme (aucune race n’est supérieure à une autre), mais de pure intelligence : un continent n’appartient qu’à ses autochtones. Tout le reste est accessoire. Face à l’ennemi conquérant, seule importe l’unité.