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"Longtemps je me suis tu... par peur d'être accusé d'islamophobie ou de racisme rampant"

6a00d83451619c69e201b8d2a490cc970c-200wi.jpgBernard Ravet (déjà évoqué hier) s'est décidé, une fois à la retraite à raconter sa vie de principal dans trois collèges de Marseille, où l'islamisme croît :

«Il faut en finir avec la loi du silence qui pèse sur l'impact du religieux dans certains établissements». Le fanatisme «frappe à la porte de dizaines d'établissements, (...) imposant ses signes et ses normes dans l'espace scolaire, dans les cours de récréation, les cantines, les piscines. Longtemps, je me suis tu. Par respect du devoir de réserve. Par crainte de stigmatiser les établissements que je dirigeais et d'en aggraver la réputation peu flatteuse (...). Par souci de protéger les élèves et les familles alors majoritaires qui résistaient aux coups de boutoir du fanatisme. Par peur d'être accusé d'islamophobie ou de racisme rampant». 

Les antiracistes sont ainsi les complices de l'islamisme.

Florilège :

  • ces enseignantes et ces élèves qui, à la sortie du collège, se font bombarder de canettes de coca aux cris de «putes! salopes!». Leur point commun? Elles avaient mis une jupe.
  • ces jeunes dealers, des barbus en sweat et tee-shirt qui viennent expliquer que le fait de vendre de la drogue ne pose pas de problème en dépit de leur croyance religieuse car «les consommateurs ne sont pas musulmans. Si la drogue tue, elle ne tue que des mécréants. Ce n'est pas contraire à notre religion».
  • Marginal en 2000, «le refus de manger de la viande qui n'était pas halal était devenu la norme en 2013, lorsque j'ai quitté le collège Izzo».
  • De même que la pratique du ramadan. Si en 2000, la moitié de ses élèves le respectaient, «en 2013 nous étions à 90% ou 95%».
  • ces élèves, qui, le matin sont soudain plus nombreuses à arriver voilées devant l'établissement. «La plupart se découvrent avant d'arriver à la porte. Mais certaines tentent de forcer le passage, de retarder au maximum le moment d'enlever leur voile, de pénétrer d'un mètre, de deux mètres, dans l'enceinte du collège. Toujours grignoter du territoire. C'est une bataille pied à pied».

Michel Janva

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