( Voici la deuxième et dernière partie)
- La fin probable de la civilisation européenne
Les cinq conséquences catastrophiques de l’invasion
Les conséquences catastrophiques de l’invasion migratoire sont au nombre de cinq (voir cette chronique). L’augmentation forte de la population qui résulte de l’immigration massive entraîne premièrement une dégradation continue des conditions de vie quotidienne : hausse du prix du logement dans les agglomérations, pollution, bétonnisation, thrombose des transports…
Elle provoque deuxièmement une pression à la baisse des salaires et à la dégradation des conditions d’emploi dans tous les secteurs où les emplois sont occupés majoritairement par des immigrés, en situation régulière ou non.
Elle entraîne troisièmement la dégradation des services publics, l’envolée des impôts et la dégradation constante des comptes publics. Les principaux services publics (sécurité sociale, hôpitaux, école, logement social) sont en voie d’implosion, débordés par le nombre, par les besoins sociaux des immigrés, par leur comportement et la pression qu’ils exercent. Le financement de l’immigration de masse est également l’une des causes principales du matraquage socio-fiscal qui pèse pour l’essentiel sur les Français moyens de souche : les prélèvements obligatoires, supportés pour l’essentiel par « la classe moyenne », représentent désormais 45 % du revenu national annuel, ce qui constitue un record mondial. Ce matraquage n’empêche pas la dégradation des comptes publics (déficits et dette) de se poursuivre. Celle-ci va de toute évidence déclencher prochainement un processus de régression des prestations, allocations et pensions de retraite servies à la population de souche.
L’invasion migratoire, quatrièmement, est la source principale et presque exclusive de la délinquance massive (vols, braquages, rackets, agressions « gratuites », viols, actes émeutiers, insultes et menaces, « incivilités » …) à laquelle viennent s’ajouter les actes terroristes. 3,5 millions de délits et de crimes sont officiellement enregistrés chaque année, soit près de 10 000 par jour. Selon les enquêtes dites de victimation, ce nombre déjà énorme est en réalité trois fois plus élevé, la plupart des victimes ne se faisant pas connaître. En outre un nombre croissant de points du territoire, les « zones sensibles », échappent désormais à la loi commune et sont désormais passés sous le contrôle des caïds et des imams, avec l’assentiment des pouvoirs publics. La France et l’Europe sont en voie d’ensauvagement, de tiers-mondisation et d’islamisation.
L’invasion migratoire entraîne, cinquièmement, un processus de mise en minorité progressive des Français de souche européenne dans leur propre pays. Ces Français de souche doivent supporter d’ores et déjà une cohabitation obligée avec les immigrés dans tous les lieux et les moments de la vie quotidienne : logement, transports, écoles et universités, hôpitaux, maisons de retraite, services publics…. Pour éviter les incidents, ils doivent en permanence rester vigilants, surveiller leur expression, s’interdire d’exprimer leur opinion et baisser les yeux en public. Au rythme pris par l’invasion, les Français de souche européenne seront mis en minorité dans les classes d’âge les plus jeunes – les moins de trente ans – d’ici deux décennies.
Trois camps en présence désormais, protagonistes de la guerre civile qui commence
Il y a désormais trois France, qui sont les protagonistes de la guerre civile qui a commencé (voir cette chronique). Le premier camp est celui des immigrationnistes, qui veulent aller au bout du processus de mondialisation et d’immigration massive. Ce camp immigrationniste est lui-même composé de plusieurs strates. La première est celle des dirigeants, qui organisent l’immigration. Ceux qui l’applaudissent et y collabore avec enthousiasme forment une deuxième strate. Les immigrationnistes les plus nombreux sont les résignés. L’immigration ne les enchante pas. Ils cherchent d’ailleurs à s’en protéger pour eux-mêmes. Mais, pour des raisons morales, par crainte de déclencher des affrontements majeurs ou afin maintenir le statu quo le plus longtemps possible, ils refusent la mise en œuvre d’une politique d’arrêt de l’invasion. Sans enthousiasme, ils continuent à voter pour les partis immigrationnistes et font le choix de se taire, afin de préserver leur carrière, leur statut social, leur réputation, leur pension de retraite, leur épargne et leur tranquillité (voir cette chronique).
Le deuxième camp est celui des immigrés, allié pour l’heure aux immigrationnistes. Parmi les immigrés les islamistes radicaux sont pressés d’en découdre. La majorité cependant sont « modérés » car ils savent que le temps joue pour eux, que leur nombre ne cesse d’augmenter et que leur prise de contrôle de l’Europe surviendra inévitablement à moyen terme. Dans ces conditions il n’y a aucune chance pour que la situation s’améliore et ce pour une raison toute simple : les immigrés ne souhaitent aucunement s’intégrer. Une grande partie même nous hait, comme les textes de rap le montrent depuis plus de trente ans. Qu’ils soient des braves gens ou des racailles, les immigrés sont tous conscients de leur force, de leur nombre et de notre immense faiblesse. Ils sont tous tout à fait conscients de participer à un processus historique de revanche et de conquête de l’Europe (voir cette chronique).
Ceux qui veulent résister à l’invasion forment le troisième camp. Ces dissidents du Système sont pour l’heure largement minoritaires : ils sont 10,6 millions à avoir voté pour Marine Le Pen en 2017, soit deux fois moins que les électeurs de M. Macron.
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Trois scénarios sont désormais envisageables. Le Système parviendra-t-il à ses fins, en dissolvant définitivement l’Europe dans un monde occidental libéral-libertaire et métissé, dominé par les Etats-Unis ? L’Europe, recouverte par les populations africaines et orientales, sombrera-t-elle dans le chaos et l’islamisation, échappant par là-même à l’orbite américaine ? Un sursaut des populations européennes se produira-t-il, qui conduira à l’arrivée de pouvoirs forts se donnant pour objectif de préserver la civilisation, le territoire et les peuples européens, de les restaurer dans leurs droits et de mettre fin au Système ?
Dans cette dernière hypothèse, l’agenda de ces nouveaux pouvoirs s’imposerait de lui-même : arrêter l’immigration et procéder à une remigration massive ; répudier la tutelle américaine ; juger, dans le cadre d’un nouveau Nuremberg, la classe dirigeante européenne pour Haute trahison…