Au sein de la classe politique, les réactions de soutien à la mobilisation nationale des Gilets jaunes se sont multipliées ce 24 novembre alors que Christophe Castaner a accusé les «séditieux» d'être à l'origine des violences sur les Champs-Elysées.
De nombreux membres des partis de l'opposition ont apporté, dans la matinée du 24 novembre, leur soutien à la mobilisation nationale des Gilets jaunes. A la mi-journée, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a déploré pour sa part déploré les violences survenues sur les Champs Elysées, pointant du doigt des «séditieux» de l'ultradroite. Des accusations que ses adversaires politiques ont retournées en accusant l'exécutif d'être à l'origine des tensions.