Une guerre civile est-elle à venir en Afrique du Sud ?
C’est en tout cas ce que pensent de nombreux blancs, de plus en plus victimes d’une politique raciale folle menée contre eux par le gouvernement de la nation « arc-en-ciel ».
Première cible des autorités noires ?
Les fermiers blancs.
Il y a deux ans déjà, nous avions interrogé Suidlanders, ONG de protection des blancs en Afrique du Sud, qui entend sensibiliser, notamment dans le monde blanc, sur le risque de génocide des blancs dans le pays de Nelson Mandela.
Simon Roche, représentant de l’organisation, mène actuellement en cette année 2019 une nouvelle tournée, aux USA puis bientôt en Europe, pour faire connaitre son organisation et les menaces qui pèsent sur les blancs en Afrique du Sud, dans l’indifférence générale en Europe, dont les autorités semblent avoir sombré, sur cette question comme sur d’autres, dans un aveuglement, volontaire, idéologique, au choix…
Un entretien qui fait froid dans le dos concernant la situation en Afrique du Sud, et qui confirme les conclusions de l’excellent reportage, Farmlands, réalisé par Lauren Southern à ce sujet.
Breizh-info.com : Que représente votre organisation désormais en Afrique du Sud ?
Comme vous l’imaginez probablement vous-même, nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud.
Les 44 stations de pompage d’eau qui fournissent de l’eau à la province de Gauteng (12 % du PIB de l’Afrique) sont toutes détruites.
La valeur de TOUTES les terres agricoles du pays a chuté de 32 % (ce chiffre a été vérifié par notre parlement) en seulement 5,5 mois après que le président ait annoncé que le gouvernement allait commencer à exproprier les propriétés des Blancs sans compensation.
Il y a eu une recrudescence soudaine des attaques et des meurtres dans les exploitations agricoles depuis le lendemain de nos élections nationales du 8 mai de cette année.
Mais la situation était mauvaise bien avant.
Et cela même si le gouvernement refuse de publier des statistiques sur les meurtres de fermiers.
Afriforum, une organisation d’activistes et de lobbyistes, dit qu’il y en a environ 130 pour 100 000. Le Dr Gregory Stanton de World Genocide Watch affirme qu’il s’agit de 120 pour 100 000.
À titre de comparaison, le taux d’assassinats en France est de 1,35 pour 100 000 ; et le taux national d’assassinats en Afrique du Sud est de 35,9.
Il y a quelques années, mon père a été contraint de s’agenouiller, prêt à être exécuté à l’occasion d’un vol de voiture, mais le pistolet s’est enrayé et les agresseurs sont montés dans sa voiture et sont partis, Dieu merci. En 2013, mon fils de douze ans a été violemment agressé alors qu’il rentrait de l’école ; la mère de mes enfants a été victime d’une double effraction et sa voiture a été dérobée deux fois. Tout cela uniquement dans ma famille proche.
Pouvez-vous imaginer cela ?
N’oubliez pas non plus que la première rencontre entre les Bantous noirs (je ne parle pas du peuple autochtone San & Khoi) et les Blancs a eu lieu à la fin de 1777 — exactement 125,5 ans après l’arrivée des Blancs en Afrique du Sud, car les Noirs n’avaient jamais réussi à traverser la rivière Great Fish.
Les gens devraient également garder à l’esprit que l’Afrique du Sud était un pays très peu peu peuplé avec une population totale d’environ 2 000 000 d’habitants au milieu des années 1800 (toutes ces statistiques sont faciles à vérifier) et les rois noirs étaient donc très heureux de vendre leurs terres aux blancs.
C’est un fait, et peu importe si cela gène les politiciens de l’hémisphère nord occidental.
D’une manière générale, nous pensons que la rhétorique des dirigeants noirs concernant une possible guerre civile et un génocide des Blancs doit être prise très au sérieux.
Les Afro-Africains noirs ne font pas de menaces en l’air, cela ne fait pas partie de leur schéma mental.
Si vous êtes une cible définie, ne devriez-vous pas au moins vous défendre ?
Et peut-être même vous préparer à vous défendre activement ?
Cela sera toujours le cas (à l’exception de quelques personnes qui s’assimilent) et seuls un enfant ou un idéaliste qui ne vivent pas dans le monde réel pourraient croire l’inverse.
Nos ancêtres, les vôtres et les miens, n’étaient pas les idiots que les libéraux croient qu’ils sont.
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