Mustafa Laabid (à gauche)
Bernard Plouvier
Selon ses habitants, vivre en Bretagne procure certains privilèges : la triade « Vent, Froidure et Pluie » - qui aura été particulièrement vive en cette année 2019, au témoignage de Bretons qui ne croient guère au « réchauffement climatique » -, mais aussi goûter aux charmes vénéneux de l’invasion progressive d’une province épargnée jusqu’au premier lustre du XXIe siècle.
Grâce à l’excellent site d’information Breizh-Info.BZH cliquez ici, n’importe quel francophone peut suivre, jour après jour, les attaques d’honorables immigrés contre les conducteurs de bus, les viols, l’importance du trafic d’armes et de stupéfiants et, par-dessus tout, les fusillades bi ou tri-hebdomadaires de Nantes, capitale du crime et de la délinquance des immigrés du Pays Gallo. À Brest, ce sont les joyeuses flambées de voitures – comme d’ailleurs en d’autres cités bretonnes qui ont accueilli la fleur de l’Afrique.
À Rennes, se joue un autre scenario : celui de la pourriture politicienne inutilement importée. Aux dernières législatives, le mouvement « En Marche… pour la fin de la France et l’Europe africanisée » avait offert eux Rennais un député de double allégeance franco-marocaine.
Le sieur Mustafa Laabid, député, était Président d’une association recevant des fonds publics en principe destinés au « quartier sensible » du Blosne. Pour les non-initiés aux subtilités rennaises, ce quartier sud de la capitale bretonne est celui que l’on aborde par le périphérique Sud, au débouché des routes de Châteaubriand (sud-est… ah ! François-René, que tu as bien fait de vivre aux XVIII-XIXe, c’était sanglant, mais on était entre nous !) et de Redon (ouest)… ou que l’on évite, si l’on jouit d’un minimum de bon sens, de même que l’on évite, de nos jours, le quartier de l’Épeule à Roubaix ou celui de Wazemmes à Lille.
L’honorable élu macronien a détourné quelque sommes – l’aumône de la Ripoublique, son traitement misérable de député ne lui suffisant pas – pour prendre d’innocentes vacances au Maroc. Il est évident que sa condamnation par le Tribunal correctionnel (3 ans d’inéligibilité et 10 000 euros d’amende) ne le satisfait pas : comment parviendrait-il à se faire réélire ? Il se pourvoit donc en appel et c’est là que l’histoire de concussion devient amusante !
D’abord, il accuse : sa « condamnation me pourrit mon mandat » !!! Ce n’est pas sa propre pourriture qui est en cause, mais le tam-tam journalistique entretenu par « des jaloux » qui aimeraient lui piquer sa place. Les électeurs peuvent apprécier la hauteur de vues et le sens éthique de l’élu. La conclusion de sa requête d’appel fait hurler de rire ou de honte : à cause du jugement en première instance, l’honorable élu « a du mal à faire valoir ses compétences et son expertise » ! On a bien lu !!!
Ah ! Grand Président Macron, l’on a toujours connu des pourritures politiciennes durant nos tristes IIIe, IVe et Ve Républiques, dites « des copains et des coquins », mais où, quand et comment la Nation, seule souveraine, de l’État français a-t-elle été consultée sur l’opportunité d’engager de tels « experts » en détournements de fonds publics. Nous avions déjà nos pourris autochtones ; était-il nécessaire d’aller en chercher d’autres en Afrique ?
Ces « quartiers sensibles », de quelle faune sont-ils peuplés ? Nous avions déjà nos délinquants made in Europa ; était-il indispensable d’en importer d’Afrique noire et maghrébine, d’Orient proche et moyen, voire des Antilles ?
Allons, électeurs français, cela ne sert à rien de marcher contre l’islam djihadiste, religion objectivement criminelle. C’est contre l’immigration extra-européenne qu’il faut tourner les projecteurs et informer honnêtement nos concitoyens sourds et aveugles du fait d’une absurde propagande tiers-mondiste ou mondialiste.
L’Afrique aux Africains ! D’accord. Mais aussi l’Europe aux Européens !