Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L’administration française que le monde nous envie… (ou pas)

L’administration française que le monde nous envie… (ou pas)

3 informations viennent aujourd’hui se bousculer, et je les laisse à votre sagacité :

  • Les masques commandés par la France en Chine seront livrés d’ici la fin juin (sans doute pour la future pandémie de Covid-20), a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. La France poursuit ses efforts pour s’approvisionner en masques, et ses commandes auprès de fabricants en Chine atteignent désormais près de deux milliards d’exemplaires. Ces masques qui ne servaient à rien, selon Sibeth, porte-parole du gouvernement… (“Peut-être” que le port du masque sera prochainement obligatoire en France, selon Olivier Véran)
  • Le fondateur du groupe de chimie SNF, à Andrézieux-Bouthéon (Loire), a été placé lundi en garde à vue puis relâché, soupçonné de proposer de la chloroquine aux salariés de sa société pouvant souffrir du Covid-19. René Pich, 79 ans, également directeur général délégué de SNF, a été entendu par les gendarmes, dans le cadre d’une enquête pour « exercice illégal de la pharmacie et de la médecine », ouverte par le parquet de Saint-Etienne. L’enquête a été ouverte à la suite d’un signalement effectué le 31 mars par l’inspection du travail de la Loire. Le dirigeant écrit dans une note : « Nous nous sommes informés en Chine dès la fin janvier et nous avons compris que ce produit était la solution. Aujourd’hui, Trump aux USA, en passant au-dessus de toutes les procédures médicales, a préconisé ce produit pour tous les cas graves. Ce produit est maintenant utilisé avec succès en Chine, Corée du Sud et Thaïlande ».Une plainte du syndicat CFDT de la chimie a été déposée auprès du parquet de Saint-Etienne pour « mise en danger de la vie d’autrui, exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et administration de substances vénéneuses ».
  • La ville de Biarritz a interdit la station assise de plus de deux minutes sur ses bancs afin de rappeler “l’impossibilité de flâner”, a indiqué la municipalité. On imagine les policiers municipaux avec leur chronomètre devant les bancs publics… L’arrêté municipal précisait que cette interdiction ne s’appliquait pas à des “circonstances particulières” comme “l’attente du bus ou des services médicaux” ou “des raisons de santé”. Nous voilà rassurés.

https://www.lesalonbeige.fr/ladministration-francaise-que-le-monde-nous-envie-ou-pas/

Les commentaires sont fermés.