L'avis de Jean-François Touzé
"Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m'insurge contre la fatalité, contre les poisons de l'âme".
Le 21 mai 2013, Dominique Venner, fidèle à son éthique agiado-achéenne, met fin à ses jours terrestres au coeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Ceux qui me connaissent bien savent que je suis loin d'avoir toujours été en accord avec Venner. Mais sa haute vision de l'Europe grande et de l'homme vrai a de tout temps suscité mon estime tandis que le choix de sa mort a forcé mon respect.