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Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

Le professeur Raoult était l’invité de CNews le 19 août.  “Plus vous testez, plus vous trouvez de cas”, a-t-il affirmé. Les cas

“qu’on trouve maintenant et ceux que l’on trouvait en février ou en mars, ce n’est plus la même maladie”.

En effet, les formes actuelles des cas de nouveau coronavirus sont davantage “bénignes”. Il n’y a “plus du tout de troubles de la coagulation” et “la proportion des gens hospitalisés est beaucoup plus faible”.

“Plus on s’affole, moins on soigne bien”. “On n’organise pas de lutte en ayant peur. Il faut enlever ceux qui ont peur et mettre ceux qui ont du courage devant”.

Pour Didier Raoult, l’augmentation du nombre de cas est une conséquence directe de l’augmentation des dépistages. Cette maladie

 “va rentrer dans le paysage […] cette maladie n’est pas plus mortelle que les autres, son taux de mortalité est bien en dessous des 2% […] Le souci vient de notre manque de connaissance vis-à-vis du coronavirus”.

 


Sur ce sujet hystérique, France Soir a publié une excellente étude, faisant le bilan des politiques sanitaires internationales anti Covid19. Résultat : le confinement est toxique, la chloroquine efficace.

Sur ce même sujet, mais à un autre niveau, Yves Daoudal fait une bonne remarque quant au port du masque durant les cérémonies religieuses.

Dans la Vulgate il y a près de 740 fois le mot « facies » (la face), et plus de 100 fois le mot « vultus » (le visage). Ces mots traduisent généralement le mot hébreu panim / paneh.

C’est qu’en hébreu (et en grec – prosopon– et en latin, qui traduisent vraiment l’hébreu) le mot face, visage, désigne la personne. On ne dit pas que tel roi fuit devant son ennemi, mais qu’il fuit de devant la face de son ennemi. On ne dit que tel personnage est en présence de tel autre, mais qu’il est devant sa face. Etc. Quand on prie (particulièrement les psaumes) ce n’est pas en présence de Dieu, mais devant la face de Dieu.

Le mot face, visage, désigne la personne. Il n’y a pas de personne sans visage, et le visage est l’expression de la personne. C’est au point qu’un dérivé direct de panim / paneh est penimah, qui veut dire vers l’intérieur, et tout simplement intérieur, dedans. Le visage est le reflet de l’intérieur de l’homme, de son âme. Si l’on efface son visage, on supprime sa face (ef-facer), on efface son âme, on détruit sa présence. Et l’on ne voit plus qu’une armée de zombies masqués, de plus en plus inquiétants.

Dieu cherche le visage de l’homme, et l’homme cherche le visage de Dieu. Pour en arriver dans l’éternité à la vision « face à face ». C’est presque un résumé de toute la sainte Ecriture. Dieu veut voir notre face pour que notre face puisse voir la face de Dieu.

Et c’est pourquoi c’est (presque ?) un blasphème que des hiérarques de l’Eglise du Christ osent se montrer en ornements sacerdotaux en effaçant leur visage, sous prétexte d’une « crise sanitaire » qui il y a quelques mois faisait dire aux spécialistes et donc aux politiques qu’il ne fallait pas porter de masque, surtout dehors…

La France est le seul grand pays à imposer le port du masque en entreprise.  D’autres pays ont adopté des confinements moins rigoureux qu’en France, sans faire déborder leurs hôpitaux et leurs morgues pour autant. Aucune autre grande puissance n’a rendu le masque obligatoire en entreprise.

https://www.lesalonbeige.fr/didier-raoult-je-ne-sais-pas-qui-voudra-se-vacciner-contre-une-maladie-qui-ne-tue-pas/

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