Dans Les 4 Vérités, Guy Millière dénonce le coup d’Etat en cours :
[…] Le coup d’État vient de loin. La gauche américaine a tenté de prendre le pouvoir dans les années 1945-1950 sous le visage du parti communiste. Elle a échoué. Ses agents ont été démasqués et condamnés. Pendant une décennie aux États-Unis, être communiste a été une marque d’infamie. Se dire socialiste impliquait de se trouver marginalisé.
La gauche américaine a alors décidé d’utiliser une stratégie plus sournoise, empruntée au communiste italien Antonio Gramsci, mais jamais affichée comme communiste : l’infiltration et la prise de contrôle graduelle des institutions infiltrées. Cela a remarquablement fonctionné. La gauche américaine a pris les universités, le secteur de l’enseignement, et depuis ce secteur crucial, la culture, les postes les plus importants de très grandes entreprises, les grands médias, puis le parti démocrate.
Elle a, pour avancer, utilisé les tactiques définies par un homme qui est resté jusqu’à ce jour son maître à penser, Saul Alinsky.
Elle a réussi à s’emparer de la présidence du pays avec l’élection de Barack Obama. Celui-ci a nommé des gens dévoués à la cause dans toutes les institutions du pays, et ces gens constituent ce qu’on appelle aux États-Unis l’État profond. Hillary Clinton devait continuer ce qu’a fait Barack Obama. Donald Trump a été élu en promettant de démanteler l’État profond et de briser l’ infiltration.
Il est devenu l’ennemi à abattre. Les tentatives incessantes de le faire tomber depuis le 8 novembre 2016 ont toutes échoué, jusqu’à l’élection du 3 novembre dernier.
La gauche américaine savait que Donald Trump allait être réélu. Elle a jeté toutes ses forces dans la bataille, et utilisé tous les moyens pour que l’élection soit une imposture et que son candidat l’emporte. Elle a quasiment réussi.
Elle a recouru à la fraude massive, oui, et cela en deux temps. Le premier temps a été l’envoi dans tous les États démocrates de millions de bulletins de vote par correspondance qui, pour nombre d’entre eux, ont été récupérés par des militants démocrates qui en ont fait des bulletins pour le candidat de la gauche.
Cela aurait pu être suffisant, mais pour être sûre de parvenir à ses fins, la gauche américaine a mis en réserve des centaines de milliers de bulletins à utiliser au dernier moment en cas de besoin.
Quand il est apparu que Donald Trump avait gagné, tard le soir le 3 novembre, elle a demandé l’arrêt du comptage des voix dans plusieurs États clés, et ajouté le nombre de bulletins nécessaires pour que Donald Trump perde.
Avant que la gauche américaine tienne les grands médias américains, tout cela aurait été dénoncé, mais la gauche américaine tient aujourd’hui les grands médias américains. Donald Trump se bat, disais-je. Il se bat pour sauver la démocratie américaine, pour la liberté, pour la civilisation occidentale. Il n’est pas sûr de gagner tant la gauche américaine tient d’institutions.
S’il tombe, les conséquences pour le monde seront effroyables, oui. La civilisation occidentale glissera vers un crépuscule accéléré, oui. Les grands médias français mentent et ne disent pas ce qui doit l’être, non. Ils se conduisent par conséquent en complices du coup d’État.
Evelyne Joslain décrit l’opération :
[…] La nuit du 3novembre, Trump remportait haut la main l’élection. Il avait bien eu sa « vague rouge», les électeurs républicains s’étant déplacés, bravant tous les risques, pour lui assurer une victoire au-delà des marges de contestation possible : dans les votes légaux, 71 millions comptés pour Trump!
Mais, coup de théâtre, vers 3 heures du matin, plusieurs États, simultanément, déclarent «bloquer le comptage», alors même que celui-ci n’était pas terminé. Sous des prétextes louches, plusieurs comtés annoncent « avoir besoin de plus de temps ». On renvoie les assesseurs républicains, mais ceux qui restent malgré tout voient des sacs entiers de votes postaux déferler. Les comptes reprennent et, ô miracle, tous les sacs parvenus, se traduisent en centaines de milliers de votes pour Biden. On nargue cyniquement Trump parce que « bien malin celui qui arrivera à prouver quoi que ce soit ». « Coupable comme l’enfer, libre comme un oiseau », se vantait le terroriste Bill Ayers, auteur du livre qui a fait Obama. Mais les preuves que le camp républicain est censé devoir fournir abondent.
Accepter de s’effacer avec courtoisie devant les malfaiteurs ? Hors de question. Le peuple américain attend autre chose de Trump. […]
Quel que soit le résultat, l’Amérique est au bord de la guerre civile. Le monde occidental est divisé entre ceux qui veulent sa disparition, avec la masse impressionnante des idiots utiles, et ceux qui refusent le monde dystopique qu’on leur impose. Même si Trump parvenait à renverser la situation, les concepteurs du « Grand Reset » et tous les gros intérêts rassemblés ont montré leur puissance. Les auteurs de cette escroquerie électorale sont les faussaires de la grosse machine «démocrate » bien sûr, mais aussi leurs complices : les GAFA, les médias, Hollywood, Wall Street, les puissants groupes de pression, le «marécage» qu’est l’État profond, les multinationales américaines et étrangères, les organismes internationaux UE, FMI, ONG, Chine, Iran et jusqu’au Vatican ! L’État de droit n’est plus. Une gouvernance mondiale maintenant ou dans quatre ans, après tout, quelle différence?
Dans Valeurs Actuelles, Pierre Rehov ajoute :
d’un côté, les Démocrates, tout en magouillant à un niveau qui dépasse de loin les limites de l’indécence, ont créé, avec BLM et Antifa, un monstre de Frankenstein qui risque de leur échapper, et, de l’autre, la partie du peuple américain qui soutient le président Trump est excédé et près à se battre pour ses droits. J’en déduis que, si le Président Trump démontre la fraude et reste au pouvoir, les Démocrates vont s’arranger pour que la violence explose et si les Démocrates parviennent à voler l’élection il risque d’y avoir du sang. Oui, je crois, hélas, à l’hypothèse d’une guerre civile.