Ne laissons pas crucifier les travailleurs français !!
Après Bridgestone, Nokia... c'est Michelin qui, à son tour, s'apprête à supprimer 2.300 emplois en France, plus pour faire plaisir à ses actionnaires (majoritairement étrangers) que pour de bonnes raisons industrielles.
Ainsi, la désindustrialisation de la France se poursuit et, même, s'accélère en ces temps de crise sanitaire : c'est un véritable scandale, et cela nous démontre aussi que la mondialisation n'est pas heureuse pour les ouvriers français, pas plus que pour les territoires abandonnés par ces grands groupes industriels plus intéressés par le profit de quelques uns que par le bien commun.
Puisque la République s'avère incapable de réagir, il faudra bien se décider à poser la question des institutions politiques susceptibles de défendre les travailleurs français et d'imposer le bien commun aux multinationales vagabondes et prédatrices.
Vite, une Monarchie royale et sociale, pour rompre avec les abus de la mondialisation et de la démesure spéculative !