Le président américain sortant quitte la Maison-Blanche ce mercredi, mais le « populisme », dont il a été l’incarnation, reste un phénomène qui traverse la plupart des démocraties occidentales. Selon nombre d’intellectuels, les fractures sociales, culturelles et démocratiques qui l’alimentent sont, en effet, loin d’avoir disparu. Une réflexion judicieuse d’Alexandre Devecchio, éditorialiste au Figaro.
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