En cette sombre période pour les Français, assignés à domicile par la République tels des malfrats et où de nombreux Français se meurent des décisions du gouvernement, d’autres continuent de s’engraisser. En effet, depuis le mois de janvier dernier, les députés ont vu leur plafond de dotation matérielle passer de 18 950 à 21 700€ par an, soit une augmentation de 230€ par mois. Le gouvernement justifie cette mesure en avançant des arguments grotesques comme le prix des taxis et autres VTC, ou encore des frais de téléphonie. En octobre 2019, les indemnités logement des députés étaient déjà passées de 900 à 1200€ par mois tandis que notre pays subissait de plein fouet la crise sociale.
Alors que les Français doivent s'adapter à des mesures sanitaires toujours plus contraignantes et aberrantes, à l’heure où des étudiants, commerçants et restaurateurs se suicident à cause de la crise sans précédent que nous vivons, le gouvernement trouve tout de même un moyen de continuer à gaver ses députés. Ces mêmes députés sont déjà particulièrement gâtés par le contribuable Français puisqu'ils coûtent chaque année plus de 100 000€ par tête.
La fracture entre le pays réel et le pays légal est toujours plus grande dans cette République inique trop attachée à protéger ses "députés-mercenaires". Dans un tel contexte, cette mesure est parfaitement indigne. C'est une énième provocation, une nouvelle preuve du désintérêt de l’élite républicaine pour nos compatriotes qui souffrent, qui sont délaissés et desquels l'état attend toujours plus. En ce jour symbolique, l’Action française fait aussi mémoire des émeutes populaires du 6 février 1934 : nous voulons dénoncer cette république de voleurs qui s'enrichissent sur le dos du pays réel depuis trop longtemps déjà.
En 1934 comme en 2021, l’Action française le dit haut et fort : À bas les voleurs ! A bas la République !