Marianne a mené l’enquête :
Beaucoup de bruit… Pour peu de voix. Marianne a compilé leurs performances aux élections aux conseils d’administration (CA) des 20 plus grosses universités françaises. Résultat : des taux de participation très faibles, atteignant rarement les 10 %, qui réduisent en miettes leur représentativité réelle. Ainsi, en moyenne, une liste élue dans un CA a obtenu seulement 2,5 % des voix de l’ensemble du corps électoral (…)
Au centre de ces questions, notamment : l’Unef. Conséquence des faibles taux de participation, des modestes résultats dans certaines universités où le syndicat ne parvient même plus à la deuxième place et de celles où il a tout simplement renoncé à présenter une liste, la structure ne représente réellement plus que 1,4 % du corps électoral des 20 premières facs de France et leurs élus recueillent en moyenne 1,8 % des étudiants inscrits.
Mais cela n’empêche pas ce syndicat islamo-gauchiste de toucher 600 000€ de subventions de la part de l’Etat :
« Dévoilée ce mercredi par Europe 1, une note confidentielle demandée par l’Elysée décrit l’Unef comme une institution en perte de vitesse « qui ne correspond pas toujours aux valeurs républicaines qu’elle dit défendre ». Le syndicat serait par ailleurs « coupé de sa base ». Selon Europe 1, l’exécutif n’envisage pas de dissoudre l’organisation mais pourrait couper ses subventions, de l’ordre de 600 000 euros chaque année. »