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A qui profite l’épidémie de Covid 19 ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Article publié dans le n°57 (été 2021) de la revue Synthèse nationale cliquez là

Depuis plus d’un an, une propagande insensée, d’un niveau d’intensité jamais connu dans l’histoire du monde, ahurit en continu et affole nos concitoyens au sujet d’un virus au comportement étrange mais ne provoquant au final qu’une surmortalité étonnamment faible. Pendant que les multinationales de Big Pharma s’en donnent à cœur joie, les gouvernements occidentaux s’entendent pour multiplier les lois liberticides et la surveillance de masse…

Même le plus candide de nos contemporains et par conséquent le mieux disposé à gober sans sourciller la lourde propagande du régime, sent bien que depuis le commencement de l’épidémie virale, quelque chose cloche aussi bien dans le narratif que dans la méthodologie incohérente, en apparence mais en apparence seulement, suivie par les instances sanitaires et le pouvoir politique.

Des centaines de vidéos, blogs, sites et articles non-conformistes proposent une information foisonnante et différente à la fois à qui veut bien se donner la peine d’en prendre connaissance. Mais une majorité de nos contemporains semble se suffire du bourrage de crâne institutionnel, de leur muselière ouatée que beaucoup peineront sans doute à abandonner et de la promesse d’une thérapie génique en phase expérimentale et aux effets inconnus à moyen et long terme, habilement présentée comme un vaccin. Mais quoi de surprenant ? Fallait-il s’attendre à ce qu’un peuple qui n’a su défendre ni son territoire, ni son sang ni même ses enfants à naître, ni sa culture, ni son patrimoine, ni sa langue se métamorphose aujourd’hui en peuple libre ?

Pourquoi est-il interdit de se faire soigner ?

Aux victimes plus ou moins consentantes de la doxa covidiste et vacciniste, il faudrait ne jamais se lasser, afin d’éviter des débats dans les méandres desquels chacun finit par se perdre, de répéter inlassablement cette question simple mais centrale, essentielle même : pourquoi depuis plus d’un an, même et surtout au plus fort de la première vague virale, après avoir pris la criminelle décision de laisser ouvertes les frontières, nous interdit-on et empêche-t-on les médecins de nous soigner ? Notamment, pourquoi depuis le début de cette prétendue pandémie et alors que n’existait et  n’existe toujours aucun vaccin digne de ce nom, a-t-on brutalement et contre toute attente interdit les seuls traitements connus dont, essentiellement, l’hydroxychloroquine, classée « substance vénéneuse le 13 janvier 2020 par Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, mariée à la ville à un certain Yves Lévy, PDG de l’INSERM et co-président du comité de pilotage à l’origine de la création du laboratoire P4 de Wuhan, ville d’où proviendrai le mal ? Cette interdiction reposant sur un avis défavorable du Haut conseil de la santé publique (HCSP) et l’arrêt des essais dans le cadre du protocole clinique européen Dicovery, lui-même influencé par l’étude truquée publiée par The Lancet, en dit long sur l’ampleur de la manœuvre et constitue à l’évidence le plus grand scandale sanitaire du siècle.

Mais que dire aussi du silence forcément complice de l’immense majorité des médecins et comment interpréter leur acceptation docile de renoncer à leur autorité de prescription et à leur serment, renvoyant les patients symptomatiques à leurs pénates avec quelques comprimés de Doliprane et la peu rassurante recommandation d’appeler le SAMU en cas de dégradation de leur état de santé ? Il faudra aussi qu’un jour ou l’autre l’Ordre des médecins ou autre organisme dûment habilité à représenter notre système de santé vienne nous expliquer son refus de thérapies connues et validées scientifiquement comme, entre autres, l’association d’Ivermectine associée à un antibiotique (Doxycycline) et à une prise de zinc. Une telle combinaison a permis de ramener pratiquement à zéro le nombre de morts en Tchéquie, au Mexique, au Paraguay, etc. Les grands médias à la botte n’en auront évidemment soufflé mot sauf, éventuellement pour tenter de discréditer la thérapie. 

Cette question initiale en inspire tant d’autres et notamment, pourquoi en pleine première poussée virale nous déconseilla-t-on vivement le port du masque ? Faute de stock nous a-t-on seriné ? Peut-être, mais alors pourquoi en avait-on détruit les stocks par  milliards avant l’épidémie alors que depuis plusieurs années se multipliaient les avertissements sur un risque de pandémie ? Et pourquoi l’avoir ensuite imposé même en milieu ouvert où il n’est strictement d’aucune utilité, sauf celle de déshumaniser les rapport sociaux et générer un certain nombre de pathologies ? On pourrait ainsi poursuivre sans fin le questionnement mais l’heure a sonné des réponses dont regorgent de récentes publications, notamment dans les deux ouvrages du Professeur Perrone – « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » et « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris » - mais aussi dans ceux du Professeur Raoult, de Philippe Aimar, Léo Gali, Florian Philippot, Guy Courtois, entre autres et les innombrables interviews, déclarations, articles des Professeurs Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-Bernard Fourtillan, du Docteur Gérard Maudrux et de quantité de médecins indépendants ou organisés en collectifs, de biologistes, généticiens et autres lanceurs d’alerte relayés par une kyrielle de sites internet.

Pas de complotistes sans complots 

C’est l’occasion de saluer au passage les efforts, l’opiniâtreté et souvent le courage de tant de lanceurs d’alertes dont la prose diffusée tant bien que mal dans les espaces de liberté résiduelle de leurs blogs et  comptes sur les réseaux sociaux tente de contrebalancer timidement le tumulte des grandes orgues de la désinformation et de la propagande obsessionnelle du système depuis plus d’un an. Si une large part de l’opinion publique ressent spontanément une certaine méfiance à l’égard de ceux qui se sont si souvent trompés et surtout les ont abusés, bien peu de nos concitoyens sont en mesure, malgré la somme d’indices, d’informations et de preuves dont nous disposons, de comprendre ce qu’il se passe réellement. Il est tellement plus confortable de ne pas voir, ne rien comprendre et d’éviter les corrélations sulfureuses qui ont tôt fait de vous ranger dans la catégorie infréquentable des complotistes. Pourtant, ce n’est pas la matière qui manque et, censure ou non – il suffit de fuir les facilités des GAFA – une très abondante documentation, certes de qualité inégale, permet à chacun, pour peu qu’il en éprouve le besoin et veuille bien se donner la peine, de comprendre les véritables enjeux d’une crise sanitaire aux origines plus que suspectes et au traitement effrayant. Quand bien même on n’adhérerait pas aux thèses de l’intentionnalité et que l’on occulterait à la fois les différentes prédictions parfaitement vérifiables, notamment celle de la CIA dès 2005, et l’étrange simulation menée juste avant la révélation des débuts de l’épidémie, il faudrait au moins convenir de la réalité des notes diplomatiques par lesquelles, en 2018, l’ambassade des États-Unis à Pékin, avaient alerté à deux reprises le département d’État américain sur l’insuffisance des mesures de sécurité du laboratoire P4 de Wuhan menant des travaux sur… les coronavirus des chauve-souris. 

Quelques aveux de taille 

Faut-il aussi ranger parmi les complotistes l’ancien président allemand de l’Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, lorsqu’il déclare dans une récente interview accordée au magazine Epoch Times : « Les actions des responsables du gouvernement ne relèvent plus de l’incompétence ou de l’ignorance mais de la préméditation ».

Est-il complotiste à son tour, Olivier Véran, ministre de la santé déclarant que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente (c’est-à-dire incertaine, aléatoire NDLA) du fait de l’apparition des nouveaux variants ». Ajoutant "le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu". Pour finir par cet aveu inimaginable que chacun pourra être amené à vérifier tant c’est énorme, notamment sur le site internet d’Europe 1 ou autres sources l’ayant dupliqué : "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant." Cette dernière précision fait écho aux plus sombres avertissements de quelques lanceurs d’alerte dont il était de bon ton de se gausser il y a encore quelques mois et tendrait à prouver que, finalement, le complotiste, c’est celui qui a raison avant que de trop nombreuses fuites ne viennent éventer les vilaine cachotteries et petits arrangements entre amis. Quoiqu’il en soit, un vacciné avertit en vaut deux et nous savons que l’automne et l’hiver prochains devraient s’avérer particulièrement difficiles sur fond de propagande et de répression accrues.

Toutes les mesures prises à ce jour l’ont été à l’encontre des intérêts et de la santé des Français. C’est une évidence tellement difficile à cacher que le régime ne peut en effet qu’intensifier jour après jour censure et répression, jusqu’aux arrestations et internements pour tenter d’étouffer ce qui peut l’être encore. Depuis le début de cette crise, nos prétendues élites mentent, exagèrent, dissimulent les informations gênantes pour leur plan et truquent les chiffres avec le soutien sans faille des grands médias subventionnés appartenant à quelques milliardaires. Ne pouvant souffrir le moindre contre-pouvoir, elles multiplient les lois liberticides et la surveillance de masse et certains de leurs laquais en deviennent menaçants, tel Éric Le Boucher, directeur de la rédaction du magazine économique Enjeux-Les Échos mais aussi co-fondateur, avec Jacques Attali du magazine américain en ligne Slate.fr, ayant pour principale actionnaire Ariane de Rothschild, titrant l’un de ses papiers dans le quotidien L’Opinion « Il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ». Pour notre part, nous pensons qu’il est plutôt temps de s’occuper de tous les Le Boucher qui nous entrainent à notre perte.

Le 9 mai 2021

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