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Clandestins : Human Rights Watch dénonce la France

Nouvelle ingérence de la part d’Human Rights Watch ! Un rapport de l’ONG dénonce le traitement des clandestins dans la région de Calais et s’en prend notamment à la police française. Le document ne fait en revanche pas mention des graves problèmes provoqués par ces immigrés illégaux.

« Humiliation », « harcèlement quotidien », « traitements dégradants »… Human Rights Watchs emploie les grands mots pour désigner la gestion du problème de l’immigration clandestine par les autorités françaises, et plus précisément dans la région de Calais.

Environ cinq ans après le démantèlement de « la jungle », un millier de clandestins vivent encore dans des campements de fortune installés dans la région et dans lesquels les conditions sanitaires sont déplorables, entraînant parfois même des épidémies de gale.

L’ONG s’en prend aux expulsions massives et aux actions quotidiennes des policiers, notamment aux 90 « expulsions routinières » effectuées dans les camps de Grande-Synthe (Nord) en 2020 et qui mettraient les clandestins « dans un état d’épuisement physique et mental ».

Les forces de l’ordre, régulièrement agressées par les immigrés et par les militants d’extrême gauche « No Borders », pourraient en dire autant, la différence étant qu’elles effectuent leur travail en évacuant des personnes en situation illégale et donc hors-la-loi.

Si le rapport évoque les adultes et les enfants, ces derniers, tout comme les femmes et les filles, constituent une infime minorité des clandestins.

Bénédicte Jeannerod, directrice France de Human Rights Watch, note que « si l’objectif est de décourager les migrants de se regrouper dans le Nord de la France, ces politiques sont un échec flagrant, en entraînent de graves souffrances ». Ainsi, et s’appuyant notamment sur les nouvelles mesures appliquées en Angleterre depuis le Brexit, mesures réduisant les possibilités d’accueil, l’ONG appelle tout simplement les préfets du Pas-de-Calais et du Nord à mettre fin aux expulsions et à réfléchir à des solutions d’hébergement, y compris sur le long terme.

Bénédicte Jeannerod ne demande bien sûr pas l’avis de la population locale, forcée d’accepter et de mettre ses propres difficultés au second plan, et omet la solution qui serait la plus à même de stopper les malheurs des migrants, c’est-à-dire l’arrêt immédiat et définitif de l’immigration. Une mesure qui permettrait, contrairement à celles préconisées par Human Rights Watch, d’éviter de provoquer un « appel d’air ».

Sans surprise, le rapport ne prend pas en compte les troubles innombrables provoqués par les clandestins dans la région depuis de longues années. Les victimes d’agressions et de viols sont légion, qu’il s’agisse de riverains ou de camionneurs. Les bagarres entre migrants sont également fréquentes.

Pour rappel, Human Rights Watch est l’une des ONG les plus aidées par l’Open Society de George Soros et travaille ainsi pour mener à bien les projets mondialistes du milliardaire. La défense des habitants du Nord de la France n’est pas au programme.

Louis Marceau

Article paru dans Présent daté du 6 octobre 2021

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