C’est plus que l’entente cordiale entre le PDG de Pfizer, Albert Bourla, et la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen. C’est l’entente commerciale…
Ursula, a récompensé chaleureusement, avec fortes embrassades, -les gestes barrière c’est pour les autres-, le PDG de Pfizer comme « meilleur dirigeant commercial », lors de la cérémonie à Washington de l’Atlantic Council, un groupe de réflexion basé à Washington dont le but est de promouvoir la coopération américano-européenne. « Cette année nous a rappelé que nous devons défendre la démocratie au quotidien » a déclaré, sans rire, la présidente de la commission européenne, celle qui transforme l’Union européenne en une prison sanitaire où il faut un Green pass pour aller boire un café ou simplement travailler, en remettant le prix 2021 de l’Atlantic Council à Albert Bourla.
Ce « leadership commercial » Bourla le doit en grande partie à Ursula, devenue, par la grâce de la crise sanitaire, la VRP officieuse de Pfizer en Europe en négociant secrètement des milliards de doses, jusqu’en 2023, et pour des milliards d’euros, les contrats d’achat des injections expérimentales anti-covid avec lui, –leurs SMS privés à propos de ces contrats vax n’ont toujours pas été révélés-. On n’est jamais mieux servi que par les siens…
Depuis les bénéfices engrangés par Pfizer avec ces sérums à ARNm sur le marché explosent le plafond. Pfizer-BioNTech, avec l’autre géant de Big Pharma Moderna, engrangent plus de 1000 dollars de profits par seconde grâce à leurs vaccins contre le Covid-19, soit 65.000 dollars par minute grâce, selon une étude de la People’s Vaccine Alliance.
Mais ce n’est pas fini : maintenant, Pfizer fait également des affaires en or avec le médicament pour traiter la myocardite et avec un traitement anticoagulant, les effets secondaires que son ‘vaccin’ provoque. Les ventes du médicament Pfizer Vyndaqel/Vyndamax pour le traitement de la myocardite au deuxième trimestre 2021 ont augmenté de 77 % aux États-Unis, totalisant 7,8 milliards de dollars au cours du seul deuxième trimestre. Des affaires en or sur le dos du covid-19 et des injections expérimentales qui ne sont pas prêtes de s’arrêter : on peut être quasi certain que la présidente de la Commission européenne, quand les effets secondaires de cette injection deviendront par trop visibles, va se ruer sur le Pfizer Vyndaqel/Vyndamax et en inonder l’Europe tout en renflouant le portefeuille de Bourla « meilleur dirigeant commercial ». Un titre qui décidemment lui va si bien… et qui montre que la lutte contre le covid est avant tout une affaire de business, de gros sous.
Et combien Ursula a touché de Pfizer, le laboratoire le plus condamné pour corruption des ‘élites’ ? Peut-être le saurons-nous quand les SMS seront publics…
Francesca de Villasmundo