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Martin Luther King, marionnette du KGB : une fois encore la dissidence avait raison

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Depuis que Donald John Trump est devenu président des Etats-Unis, ça tronçonne sec dans les chaumières. Les grands arbres des bonnes consciences tombent un à un, à tel point que l’on peut se demander (et je ne m’en prive pas) si le Président des Etats-Unis n’a pas donné des ordres en ce sens, libérer les paroles et ouvrir les archives, pour déciller les yeux du peuple américain sur l’abjection des distributeurs de moraline et de leurs idoles.

 « TIMBER !!!! » hurle le bûcheron. Cette fois, c’est un immense séquoia de la bien-pensance qui tombe. Michael « Martin Luther » King en personne ! Toujours pour le même motif. Voici ce qu’en disait le Daily Mail le 3 novembre : « Une face méconnue du personnage apparaît au grand jour dans des notes du FBI rédigées moins d’un mois avant son assassinat en 1968. Selon ces documents, ces 20 pages archivées depuis près d’un demi-siècle et qui viennent d‘être déclassifiées, le pasteur afro-américain avait des sympathies marxistes. Il avait aussi des mœurs dissolues et entretenait une liaison avec la reine du folk, la chanteuse Joan Baez, alors qu’il était marié et père de quatre enfants. Les agents du FBI évoquent aussi des orgies sexuelles auxquelles aurait participé le natif de Memphis qui fut récompensé du Prix Nobel de la Paix en 1964 un an après voir prononcé à Washington une phrase passée à la postérité “I have a dream” »

Ceci dit, ceux qui lisent la presse et les livres de la dissidence savaient tout ce qu’il y avait à savoir. Dès 2001, l’essentiel avait été dit sur le Prix Nobel dans un pavé aujourd’hui introuvable, L’Imposture antiraciste dont j’ai déjà parlé. On y trouve toutes les « révélations » faites aujourd’hui et bien plus encore…

 « Martin Luther King a été pris en main par le KGB, depuis que le responsable du PC de New Orleans, James Dombrowski, lui a proposé le financement « désintéressé » par son parti du Montgomery Improvment Association. Idole des « antiracistes », il va de soi que la réalité n’a pas grand’ chose à voir avec l’histoire officielle. Comme beaucoup « d’antiracistes », Martin Luther King est un faussaire : en 1987, l’étudiant Théodore Pappas collaborant à la publication de l’œuvre complète du « maître » a remarqué que la thèse de doctorat de MLK a été plagiée à 45 % pour la première partie et à 21 % quant à la seconde sur celle de Jack Boozer, un camarade d’université ([i]). Son premier sermon de pasteur fut plagié du discours du pasteur Harry Emerson Fosdick. Son discours I Have a dream est, dans ses meilleurs passages, pris sur un prêche de 1952 du pasteur Archibald Carey. Il en est de même de sa conférence lors de la remise de son prix Nobel et de ses livres Strength to Love et Stride Toward Freedom. Le plagiat est sévèrement puni aux Etats-Unis : il a coûté son poste à un doyen de Boston (où King reçut d’excellentes notes pour des travaux universitaires plagiés) et une place de candidat à la présidence à Joseph Robinette Biden en 1988. Pourtant, à crime égal, on trouve toutes les excuses à Martin Luther King, sur des critères ouvertement racistes. Ainsi, Keith Miller, universitaire de l’Arizona déclara : « les Noirs ont une forte tradition orale et il est idiot de leur appliquer les règles d’originalité et de références applicables aux Européens([ii]) ». Faussaire, le pasteur était également un alcoolique, orgiaque notoire, amateur de prostituées blanches et d’histoires salaces : « Que je sois damné ! Si seulement vous pouviez entendre à quoi ce prêcheur hypocrite se livre sexuellement ! » déclarait à son sujet le président Lyndon Baines Johnson. Cet « apôtre de la non-violence » rédigea la préface d’un brûlot raciste de Robert Franklin Williams, Negroes with guns. De plus, il était totalement entre les mains du Parti Communiste, comme le prouve le « Livre Blanc » du FBI sur lui, dont la diffusion a été bloquée jusqu’en 2027 par décision du juge John Smith Jr à la demande de Coretta Scott King (veuve du pasteur) le 31 janvier 1977 : cependant, un rapport de ce type réalisé par Karl Prussion, agent du FBI infiltré au Parti Communiste, démolit totalement le mythe de l’un des plus beaux imposteurs du vingtième siècle([iii]). Le responsable traitant de Martin Luther King était Stanley David Levinson, vice-président du conseil new-yorkais de l’American Jewish Commitee. C’est lui qui, sur ordres de Moscou, finança King et l’orienta, lui écrivant même certains de ses discours (Levinson était donc… le nègre de King !). Le 2 septembre 1958, soit trois ans après l’affaire Rosa Parks, King assista au premier rang aux cours de la Highland Folk School de Monteagle (Tennessee) – école dirigée par les responsables du Parti pour le Tennessee et la Caroline du Nord Myles Horton et Don West – qui apprenait à ses élèves noirs les techniques de la guérilla urbaine, en compagnie de Abner Berry (membre du Comité Central du PC et journaliste au Daily Worker), Horton et Aubray Williams (responsable du Southern Conference Educational Fund, liée au PC). King fut l’un des sponsors de cette « école », qui forma Andrew Jackson Young, futur ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU sous Carter et maire d’Atlanta (la ville de Coca Cola, symbole du mondialisme). Levinson convaincra Luther King de s’opposer à la guerre du Viêtnam (Levinson lui organisera une rencontre avec Arthur Joseph Goldberg([iv]) ) en lui écrivant ses discours contre la guerre au Viêtnam, notamment celui du 4 avril 1967 (dit « discours de Riverside Church »), où King accusa l’héroïque maréchal Ngô Dinh Diêm, assassiné par la CIA le 2 décembre 1963([v]), d’être « l’un des plus vicieux dictateurs des temps modernes » et l’armée américain de l’avoir « aidé à tuer plus d’un million de Vietnamiens, principalement des enfants([vi]). » Levison ne fut pas le seul communiste dans l’entourage de King : son secrétaire particulier et le co-fondateur de la Southern Christian Leadership Conference([vii]) était le communiste Bayard Rustin, militant de la Youth Communiste League de New York depuis 1936, le vice-président de la SCLC était le pasteur communiste Fred Shuttlesworth (membre de la SCEF, présidée par le communiste Carl Braden). Rustin sera remplacé en 1960 par Jack « Hunter Pitts » O’Dell, membre du PCUS depuis 1956 et du Comité Central de ce parti depuis décembre 1959… Débordé sur sa gauche par les noirs radicaux et racistes des Blacks Panthers (dirigés par le proxénète Malcolm Little, alias Malcolm X, admirateur de Castro et Mao, dont la veuve succombera le 23 juin 1997, brûlée vive par son propre petit-fils !) et du Black Power (de Stockley Carmichael, partisan du retour des noirs en Afrique et admirateur du tyran marxiste Sekou Touré), Martin Luther King sera assassiné par les extrémistes gauchistes du Peace and Freedom Party le 4 avril 1968 à Memphis, suite à la manifestation du 27 mars où ses troupes se sont livrées au pillage, au meurtre et au viol (dont une femme blanche violée par King la veille de l’attentat), et la responsabilité du meurtre sera endossée par un bouc-émissaire idéal : un voyou blanc du nom de James Earl Ray , que la famille King a toujours jugé innocent. »

Ce qui est dit est dit. Et comme le chantait Béatrice Tékielski, plus connue sous son nom de scène « Mama Bea » en 1978, ô combien d’actualité car étant très à gauche : « Tremblez vieillards de nos âges, ils vont bruler nos idoles ! ».

Hristo XIEP

[i] Theodore Papas, Plagiarism and the culture War : The Writings of Martin Luther King Jr. And other prominents Americans., Hallberg Publishing.

[ii] Keith Miller, Une voix de délivrance, le langage de Martin Luther King.

[iii] Ce rapport est disponible dans l’US Congressionnal Record du 89e Congrès du 30 mars 1965.

[iv] Ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU. Membre de l’American Jewish Commitee et du B’naï B’rith, il fut l’un des partisans de l’admission de la Chine maoïste à l’ONU en lieu et place de Taiwan.

[v] Et frère de l’archevêque de Hué, Mgr Pierre-Martin Ngô Dinh Thuc (1897-1984),…

[vi] Mensonge éhonté : il y eut exactement 50 000 civils nord-vietnamiens morts. Les tueurs de Hanoi, eux, tueront près de trois millions de Vietnamiens et un million et demi de Cambodgiens. A noter qu’en 1992, un mouvement noir de droite déclarait à son sujet : « On célèbre la mémoire d’un traître. C’est une insulte à tous les Américains, noirs et blancs. »

[vii] Conférence des leaders chrétiens du Sud, nouveau nom des anciens Crusade for Citizenship et Montgomery Improvment Association.

https://www.medias-presse.info/martin-luther-king-marionnette-du-kgb-une-fois-encore-la-dissidence-avait-raison/82882/

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