Le site internet Le Point Critique propose en date du 9 mars 2022 un article de fond (de Mme Marthilde Debord) à propos de l’Ivermectine, considérée par beaucoup comme un traitement précoce efficace contre le covid mais refusée avec constance, comme d’ailleurs quasi-tous les traitements précoces potentiels, par le pouvoir macronien.
De cet article, on ne retiendra –à considérer les informations actuelles concernant M.Macron et McKinsey- que ce court extrait :
« On se rappellera qu’il y a quelques mois, il [Olivier Véran] s’était déjà enthousiasmé pour une autre molécule non moins prometteuse, le bamlanivimab, jugée depuis inefficace contre Omicron, à l’efficacité fluctuante mais surtout toxique et dont la FDA a révoqué l’autorisation d’urgence sur demande du laboratoire (Eli Lilly) lui-même. Est-elle toujours administrée aux Français ou le Gouvernement en a-t-il fait détruire le stock ? On se souviendra également qu’Emmanuel Macron s’était personnellement impliqué dans cette commande, sur les conseils du cabinet McKinsey et contre l’avis de la communauté scientifique mais pour le plus grand bonheur de plusieurs membres de son entourage proche, comme le suggère Libération.
Au-delà de la question d’un possible conflit d’intérêts, le principal enseignement de l’affaire du bamlanivimab est que le Président de la République, dont on savait déjà qu’il s’occupait à temps plein de la crise, qu’il était devenu épidémiologiste à la faveur du COVID et qu’il avait bâti sa réputation de Mozart de la finance sur un « deal financier historique » avec Pfizer, comme le relatait le site atlantico.fr au lendemain de sa nomination à Bercy, a aussi le pouvoir d’outrepasser les réserves des agences sanitaires pour imposer un traitement à ses concitoyens ».
Pour faire et servir ce que de droit…
https://www.lesalonbeige.fr/m-macron-mckinsey-et-le-bamlanivimab-une-autre-etrange-collusion/