Dans les troubles frontaliers qui secouent la Serbie et son ancienne province rebelle, les Russes ont peut-être une occasion unique de disperser les forces de l’OTAN en soutenant activement leurs frères Serbes, slaves comme eux.
Sans s’engager sur le terrain militairement mais en leur fournissant des armes, des informations, une logistique et des mercenaires, comme les démocrassouilles ne se privent pas de le faire en Ukraine.
Des journalistes de la BBC sont les premiers à avoir compris, ou à avoir été autorisés à dire que « la situation évolue vite, et il est possible que la Serbie fasse monter les enchères dans le cadre d’une action géopolitique coordonnée avec la Russie. »
J’imagine mal l’ami Vlad, fin stratège, laisser passer une telle opportunité. D’autant que la Russie n’a jamais reconnu, elle non plus, l’indépendance du Kosovo. Et est donc parfaitement fondée à réserver aux mahométans le même sort que les otanesques ont infligé depuis 8 ans aux russophones du Donbass.
Avec Macronescu, la France partie à nouveau pour se déshonorer ?
Après avoir bombardé et massacré nos amis de toujours, les Serbes chrétiens, pour obéir à l’OTAN et complaire au roi d’Arabie qui l’exigeait, la France a été un des premiers États à reconnaître la souveraineté pleine et entière du Kosovo mahométan, province historique arrachée à la Serbie.