Bernard Germain
La France Insoumise, Europe écologie les verts, les communistes, les socialistes, bref l’extrême gauche ainsi qu’à droite les macronistes et les « Républicains » macron-compatibles ne cessent de relayer les messages « victimaires » appelant la population à lutter contre l’islamophobie.
L’objectif est simple : répéter comme un orgue de barbarie « les musulmans sont des victimes », car il faut donc les protéger et les défendre. En espérant que ça finisse par entrer dans nos cervelles de « beaufs ».
Dans le même temps nous sommes quotidiennement informés d’agressions en tout genre, notamment au couteau, dans un nombre toujours plus grand de villes en France.
C’est un phénomène maintenant national et indiscutable.
Avec presque à chaque fois des auteurs, immigrés clandestins, dont le nom est soigneusement caché par la presse des bien pensants (Le Monde, Libé, L’Obs, BFMTV, …).
Sauf que lorsque le nom de l’agresseur n’est pas publié, chaque français sait ce que cela veut dire.
En anonymisant les auteurs d’agressions, en niant la dangerosité et l’incompatibilité de l’islam avec notre société tout en défendant mordicus les musulmans qui ne peuvent qu’être des « victimes », les progressistes commentent une tragique erreur… pour eux.
Le site Atlantico a publié, le 7 Août 2022, une interview de Boualem Sansal – célèbre écrivain algérien vivant en Algérie – qui connaît parfaitement l’islam et les musulmans.
Il déclare dans cet entretien : « Pour les islamistes, nous sommes tous des kleenex. Il prend quand c’est utile et il jette quand ce n’est plus utile. Ils se fichent comme de leur première gandoura des wokistes, des insoumis, des intelligents utiles et des passeurs affectueux, ils seront les premiers à être décapités car l’islamisme sera au pouvoir, ce qu’il est déjà puisqu’il tue et décapite qui il veut, quand il veut, où il veut. Les islamistes haïssent par-dessus tout les faibles, les efféminés et les hypocrites qui viennent les comprendre, les défendre, leur porter le sac. L’islamisme ne cherche pas à être vertueux, il est la Vertu qui exige que les autres le soient à son image. Il est temps en France de méditer l’histoire du scorpion qui pique la grenouille qui l’a aidé à traverser la rivière. L’islamisme n’a pas d’ennemis, ni d’amis, comme la défunte grenouille n’était pas l’ennemie du scorpion, ni son amie. »
Tous les donneurs de leçons, les moralistes et autres anti-racistes sont prévenus, … « ils seront les premiers décapités ». Les voilà informés.
Boualem Sansal sait de quoi il parle. Les bien-pensants ne pourront pas dire « je ne savais pas » !
Il est intéressant de souligner un autre point : où sont les fameux « musulmans modérés » ?
Il paraît qu’ils sont majoritaires et désapprouvent les exactions des « islamistes » qui seraient une minorité non représentative de cette « religion d’amour et de paix » que serait l’islam ?
On peut aisément observer qu’à chaque agression et attentat, ils sont… totalement silencieux.
Chacun connaît le proverbe « qui ne dit mot consent ».
Pardon… en fait, ils ne sont pas toujours silencieux.
Par exemple, à l’occasion de la tentative d’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen – notoirement anti-sémite et misogyne – de nombreux musulmans « modérés » se sont manifesté.
Plus de 41.000 € collectés en 4 jours et des dizaines de mosquées ont publié des communiqués, en soutien de cet imam sulfureux.
Mais enfin, puisqu’on vous dit… que les musulmans sont modérés !
Quant au ministre Darmanin, il tente (ou fait semblant) de faire expulser le dit imam et entend présenter une Loi sur les expulsions en Septembre lors de la rentrée parlementaire.
Le Premier ministre, Elizabeth Borne, vient de lui faire un joli croche-pied, confirmant que le gouvernement le soutient comme la corde soutient le pendu. En réponse, elle vient d’indiquer qu’il n’y aurait pas de Loi en Septembre mais un débat d’une durée de deux mois à l’Assemblée Nationale, suivi du vote d’une Loi.
Le gouvernement et l’Assemblée nationale auraient donc besoin de 2 mois pour s’informer et discuter du problème de l’islam en France, du développement de son implantation en relation avec une immigration totalement hors de contrôle ainsi que des conséquences qui en découlent en matière d’insécurité et de non respect des Lois de notre pays ?
Dans quel monde vivent ces gens ? Ils n’ont qu’à aller dans n’importe quelle banlieue de grande ville. Ils y découvriront la vie des français. La vraie.
Loin de tout cela, les « grands » de notre pays vivent dans des beaux quartiers, en étant protégés par de nombreux gardes du corps. Ils ne risquent donc pas d’être confrontés aux problèmes des français.
Peut-être est-ce pour cela qu’ils ont besoin de deux mois pour se mettre à niveau sur ces problèmes ?
Aux dernières nouvelles, Mme Borne est polytechnicienne. Elle est donc supposée disposer d’un cerveau et savoir s’en servir. Dès lors : pourquoi a-t-elle décidé d’agir ainsi ?
Il n’y a qu’une explication possible : la lâcheté !
La peur d’avoir à affronter le problème et décider des mesures qui conviennent, notamment pour protéger les français et le pays.
Pour éviter de le faire, elle cherche donc à gagner du temps en noyant le poisson dans une interminable discussion, espérant qu’entre-temps la pression sera retombée afin que cela ne débouche sur rien.
Qu’on ne vienne pas nous dire : la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) refuse cette expulsion de l’imam et les mesures visant à protéger la France et les français des menées de l’islam dans notre pays.
Si c’est le cas, il n’est qu’une solution : sortir de la convention de la CEDH.
La France a le droit de défendre son identité, sa culture, sa sécurité et ses frontières. N’en déplaise à l’Europe.
Tous ceux qui disent le contraire sont les alliés objectifs des islamistes qui sont les ennemis de la France et des Français.
Enfin, dernière preuve de la lâcheté du Premier ministre : elle vient de nommer un « Ambassadeur LGBTQIA+ », faisant de notre pays la risée de toutes les chancelleries.
Au passage, pour terminer, deux questions :
- Si les LGBTQIA+ sont une communauté à prendre en compte (moins de 5 % de la population !) les hétérosexuels (95 % de la population) en sont une autre autrement représentative. Pourquoi ne nomme-t-elle pas un « Ambassadeur hétérosexuel » ?
- Quant à l’Ambassadeur LBGTQIA+ … sera-t-il dépêché au Quatar, en Arabie-Saoudite, au Yemen voire dans le 93 pour expliquer à ces braves gens qu’il faut respecter les « droits » des LGBTQIA+ ?