C'était un génie, le nouveau JP Morgan, l'idole de la presse américaine et le second plus gros donateur du Parti Démocrate (Bon Sang ne saurait mentir); il pensait même racheter Goldman Sachs à ses heures perdues...
Las, c'était en fait le Madoff de la cryptomonnaie, et comme avec Madoff, l'Autorité des Marchés Financiers US (la SEC) s'est démontrée sourde et aveugle à tous les signes précurseurs graves d'une arnaque imminente.
Samuel Bankman Fried, fils de bonne famille ultra-connecté aura participé à un réseau opaque de blanchiment, d'arnaque et de corruption dans lequel des millions d'épargnants auront laissé un bras...
Mais n'oubliez pas, c'est sur Didier Raoult et sur Elon Musk qu'il faut braquer les meilleurs investigations de la presse