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« Envoyé Spécial » Callac : Élise Lucet aurait fait merveille sous Staline

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Bernard Germain

À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25 % de la population du village.

Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.

En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.

Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :

  • Ce projet n’était pas dans votre programme électoral
  • Soit vous abandonnez le projet soit vous faites un référendum

L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80 % de la population est contre ».

Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.

Alors elle n’en parle tout simplement pas.

De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.

La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.

Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».

De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.

Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.

Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.

Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.

Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.

Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.

Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de 3 manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.

On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.

Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?

Non, le reportage d’Antenne 2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.

C’est du grand « Libération », mais à la télévision.

Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.

Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?

Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.

L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.

Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.

Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.

Aucun exposé des points de vue contraires.

Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.

Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.

Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.

Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.

On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.

Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.

Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.

Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.

Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.

Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?

Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?

Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».

Sauf que les parents ne disent pas cela.

Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».

Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.

Encore l’extrême droite…

Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.

Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.

Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »

« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.

Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.

Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.

Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?

Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.

Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.

Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.

Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.

Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/04/07/envoye-special-callac-elise-lucet-aurait-fait-merveille-sou-6437177.html

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