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Les migrants dans les châteaux, mais une famille française de 5 enfants à la rue

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Bernard Germain

Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.

Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.

Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.

Ceux qui sont prioritaires, ce sont des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, qui n’ont jamais cotisés et dont la plupart ne travaillent pas, vivant d’aides et de prestations sociales.

Cette histoire tragique m’en rappelle une autre. J’avais écrit un article à ce sujet : cliquez ici

Il s’agissait d’une famille française, en Bretagne à Ploërmel, qui travaillait et par honnêteté avait accepté de quitter le logement qu’elle occupait avec ses quatre enfants pour satisfaire la demande du propriétaire de récupérer son bien, mais sans prendre la précaution la précaution d’avoir un nouveau logement avant de déménager.

Résultat : obligée de vivre sur un terrain déclaré insalubre dans une caravane. Pourquoi ? parce que tous les logements sociaux sont attribués en priorité aux migrants, dont il faut « prendre soin ». Alors, il n’y avait pas de logement pour eux qui payent des cotisations sociales et qui venaient de recevoir la médaille de la famille par le maire de leur commune.

Je peux également citer un autre article que j’avais écrit sur un problème similaire. cliquez là

Là il s’agissait d’un homme vivant à Paris. Victime d’un accident du travail il avait perdu son logement et s’était retrouvé à la rue. Oui, ... SDF pour cause d’accident du travail.

Après 2 ans passés hiver comme été dans la rue, il s’était rétabli et pouvait à nouveau travailler. Mais il avait un problème. Pour signer son contrat de travail il lui fallait une adresse. Donc impossible de retrouver du travail.

Sauf que pas de travail implique une absence de ressource. Donc personne ne voulait lui louer un bien immobilier. Une histoire de fou, lui interdisant de retrouver une vie normale et de quitter la rue. Vous me direz peut-être : « Il y a des services sociaux qui peuvent le loger et le sortir de sa situation d’extrême pauvreté ».

Oui, vous avez raison. Mais cet homme a fait le tour de tous les services. La réponse était invariablement la même : « Vous n’êtes pas prioritaire. Ce sont les migrants qui le sont ». Donc, il n’y a rien pour eux.

Trois histoires. Trois situations identiques.

Des personnes qui ont travaillé ou travaillent depuis de longues années. Donc qui ont cotisé ou cotisent.

Un problème survient et l’enfer leur tombe sur la tête. Ils se retrouvent dans la précarité, abandonnés par l’État et tous les services sociaux.

L’État… parlons-en. Il ne fait rien pour ces français, il les abandonne et au fond n’en a rien à faire.

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Par contre les migrants, ça c’est important. Le château ci-dessus, situé à Saint-Jean-le-Vieux (01)est classé aux monuments de France. C’est dans ce château que le préfet de l’Ain va héberger des migrants. Les habitants sont furieux, le maire se dit impuissant face à la décision de la préfète. Là, on touche le fond.

Des migrants dans un château classé monument historique. Tandis que les français, sont à la rue, sur un terrain insalubre ou sur un parking de super marché s’ils rencontrent le moindre problème. Quelle honte !

Il est urgent d’arrêter cette immigration folle et d’obliger les délinquants, OQTF et autres indésirables à quitter notre territoire dans les meilleurs délais.

Quant aux français il faut appliquer la préférence nationale, c’est à dire leur donner la priorité pour tout ce qui relève du social, notamment l’accès aux logements sociaux.

Si on arrive à en finir avec la misère en France, il sera toujours temps de s’occuper du reste du monde. En attendant, il est insupportable de constater l’existence de cas comme ceux que je viens de mentionner. Ce ne sont que trois exemples. Combien sont-ils comme eux dans toute la France ? C’est un vrai scandale.

http://synthesenationale.hautetfort.com/

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