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Marche pour la Vie 21 JANVIER 2024 à Paris

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En 2024, notre combat sera encore et toujours d’actualité… Inscription de l’avortement dans la Constitution et légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté sont les deux menaces qui pèsent sur la protection de la vie humaine en France. Nous devons inlassablement rappeler que chaque vie humaine n’a pas de prix, qu’elle est unique et irremplaçable, et non un produit à prendre ou à jeter.

Face au nombre toujours croissant d’avortements – 234 300 en 2022, un triste record depuis 1990 -, nous proposons des solutions concrètes pour éviter ce drame. Face à la volonté de légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté, nous promouvons le développement des soins palliatifs, l’accompagnement des personnes en fin de vie, et nous rappelons la dignité de chaque personne, Quelles que soient ses capacités physiques ou intellectuelles.

Nous appelons les Français à venir nombreux le 21 janvier 2024 à Paris pour porter ce message de vie, d’espérance et de solidarité envers les plus fragiles de notre société ! Nous ne les abandonnerons pas !

Nos 10 propositions

1. Rejeter toute légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie,

2. Déployer un grand plan pour que les soins palliatifs soient accessibles à tout Français qui en aurait besoin.

3. Faire réaliser une étude sur l’IVG par les pouvoirs publics, pour mieux comprendre les causes et les conséquences de l’avortement, comme le souhaitent 88 % des Français (sondage IFOP octobre 2020), et obtenir la création d’une mission d’études parlementaires sur ce sujet.

4. Mettre en place une politique familiale pour combattre la précarité et accompagner tous les parents pour que l’IVG ne soit jamais un choix réalisé pour des raisons économiques.

5. Permettre le remboursement à 100 % des actes liés à une maternité, alors qu’une prise en charge à 100 % est déjà prévue pour une IVG.

6. Rendre obligatoire, dès la sixième semaine de grossesse, une échographie qui permette d’entendre battre le cœur du fœtus.

7. Rétablir un délai de réflexion de trois jours minima, avant toute IVG.

8. Encourager l’accouchement sous X pour permettre aux jeunes femmes en difficulté de mener leur grossesse à terme et de permettre ainsi l’adoption.

9. Défendre le droit absolu à l’objection de conscience des personnels de santé et protéger la clause de conscience spécifique.

10. Refuser la constitutionnalisation de l’avortement.