par Eaglefeather
Ne me demandez pas mes sources, si nombreuses soient-elles et parfois providentielles, voire disparues depuis, qu’il me serait impossible de toutes les énumérer. Cela couvre près de 45 ans de recherches, de rencontres, d’échanges de données, de fouilles, etc. Parfois, un objet, un site de fouilles, répond à une question, mais en soulève bien d’avantage !
Depuis deux, trois décennies, on constate que l’apparition de l’homme ne cesse de s’enfoncer dans les Âges. De découvertes en découvertes, la science se voit de plus en plus acculée à l’avoir limité, et finira tôt ou tard, par devoir admettre qu’en fin de compte elle ne connait rien de notre passé. Que tout ce qu’elle aura jusqu’alors, affirmé, n’aura été qu’erreurs, mensonges et duperies.
Entre nous, il n’y aura pas que la science qui sera ainsi mise à mal et devra obligatoirement se remettre en question, les religions aussi. Une en particulier, qui pour asseoir sa suprématie mondiale, aura fait main-basse sur des connaissances ancestrales, le plus souvent léguées en héritages depuis des générations, ou en les détruisant ou tout simplement, en les soustrayant à la mémoire de l’humanité toute entière. Elle qui use et abuse des craintes de la mort, et de l’enfer, en apeurant ses propres fidèles avec. Pourtant elle n’hésite pas à pécher elle-même par le mensonge, l’escroquerie, l’usurpation et voire même le meurtre et le génocide, pour subtiliser tout ce qui pourrait la confronter un jour, au son mensonge qu’elle a mis en place, quant à nos origines et l’origine des écrits sur lesquels repose son idéologie .
Lors de la conquête du Nouveau Monde, l’ »évangélisation » des peuples indigènes, n’était qu’une couverture pour pratiquer le « pillage de leurs richesses » ! Cette église, par l’entremise des chroniqueurs qui l’accompagnaient, s’est vite rendue compte, que les artéfacts qu’elle s’accaparait, recelaient non seulement leur savoir, mais aussi des détails pouvant devenir gênants, concernant ce fameux mensonge. C’est pourquoi « les jésuites » ont eu pour mission de détruire toutes preuves de cela, et de faire en sorte d’enrayer toutes possibilités de propagation, d’une transmission orale, en pratiquant, le « génocide » !
Mensonge, la mère de tous les vices.
Cette fois c’est envers ses propres fidèles qu’elle ose mentir et tromper, c’est la marque de fabrique de ces « fanatiques » alors qu’ils condamnent eux-mêmes, leurs fidèles pour cela. Faites ce qu’on vous dit de faire, pas comme nous nous faisons !
Ne vous êtes-vous jamais posé la question, de savoir comment des religions aussi diverses soient-elles, et éloignées géographiquement, renferment-elles dans leurs écritures dites sacrées, « un contenu », parfaitement similaire entre elles toutes ! Seuls les aménagements « humains », qui y ont été apportés dès leur apparition, auront déterminé leur orientation idéologique propre, au cours des siècles !
Je ne m’étendrai pas plus sur ce point, mais il faut savoir que les dits textes sacrés « originels, n’ont toujours pas été « traduits » et ne le seront peut-être, « jamais » ! Ce qui en clair, signifie que leurs contenus d’aujourd’hui, ne sont en fait, que « pure invention » ! Dès lors, il y a de quoi se demander, comment peut-on enseigner une ligne de conduite, imposer des règles à ses fidèles, alors que l’idéologie repose essentiellement sur une traduction incomplète, aléatoire, et fictive, d’une langue si ancienne qu’elle était déjà éteinte depuis un millier d’années, il y a de ça, 2600 ans, et dont nul ne disposent jusqu’à ce jour, d’aucune connaissance ?
Des écrits « similaires » à travers le monde ante-glaciation.
Un fait, pour le moins « inexplicable ». Les voyages intercontinentaux étaient peu probables au vu des moyens et des connaissances, selon les archéologues et historiens. Alors comment pourraient-ils expliquer, qu’au même moment, un texte apparaisse à travers le monde et dont chaque version, est écrite dans une langue ancienne de la région d’apparition. Tellement anciennes qu’elles ne sont plus utilisées, voire oubliées, depuis près d’un millier d’années.
Par recoupements, il est défini que l’exemplaire alpha, se présente sous forme d’un bas relief sur les ruines d’un temple du sud de l’Inde. Il fut déterminé par les couches recouvrant le site, que ce temple date d’au moins -13.000 av JC, soit presqu’à la fin de la glaciation . La deuxième version, écrite cette fois en caractères cunéiformes, se retrouve à Sumer, sous la forme de tablettes. Bien plus tard, c’est dans des grottes d’une région limitrophe qu’une seconde partie de ce texte, est retrouvée.
Bien qu’étant « Maya / Quiché », le Popol Vuh ou « Livre du Conseil », renferme une équivalence biblique. Récemment, et c’est le plus énigmatique, une partie de version est retrouvée au Guatemala ! Il fut découvert sur le site des fouilles à Tikal. Le plancher d’une salle en cours de déblayement, s’est dérobé, laissant en apparaître une seconde. Un coffret en « serpentine », orné de glyphes peu connus, s’apparentant à de l’olmèque primitif, y est découvert parmi d’autres objets. Ce coffret renfermait un type de codex rédigé dans une écriture, « cunéiforme primaire », autrement dit antérieure à celle découverte à Sumer. Indéniablement, cette « improbabilité » soulève bien des questions, auxquelles les archéologues ne savent pas quoi répondre et s’ils le font, ce n’est que par des explications absurdes, sans admettre leur ignorance. L’absurdité est qu’ils n’envisagent nullement, que le cours de l’histoire peut être bien différent que celui qu’ils ont imposé jusqu’ici à être le seule plausible ! Et pour couronner le tout, ils ont interdit au Musée Popol Vuh, de l’exposer au grand public, et que toutes publications ou allusions à cet artéfact, seront systématiquement démenties.
Autre étrangeté, le langage sumérien possède des similarités phoniques étonnantes avec une des plus anciennes langues de l’Inde antique, « le Dravidien » ! Ce peuple occupait initialement les plaines au nord-est de l’Himalaya bien avant 12.000 ans. Un « Grand bouleversement climatique » le poussa vers les régions plus au sud et plus clémentes. Ce changement semble être soudain, et correspondrait à la glaciation. La colonisation des régions telles que l’Indonésie, corrobore amplement cette thèse, le niveau des mers étant plus bas de 133 m, la facilita. L’établissement de colonies dans ces régions, est relaté sur plusieurs temples, du sud de l’Inde et d’Indonésie, ce qui le confirme d’avantage. Les catastrophes survenues dans la région, ces dernières années, séismes et raz de marée, ont particulièrement affecté la croûte terrestre, faisant apparaître des vestiges jusqu’alors immergés ou ensevelis sous les fonds marins. De nos jours, il persiste encore un foyer dravidien (le Brâhui), dans le Sud Pakistan. Ce détail contredit également l’affirmation des archéologues et les historiens, qui prétendent que les Dravidiens seraient originaires d’Iran, alors que c’est plutôt l’inverse.
Dénégation des preuves d’occupations ante-glaciation
Le plus emblématique de ces vestiges datant de la glaciation, est celui de Gunung Padang. Les fouilles ont permis d’établir que le site était déjà ou ayant été, occupé bien avant la glaciation. Erigé au sommet d’un monticule et bordé de terrasses sur ses parois. Récemment les fouilles ont confirmé la présence de trois constructions se superposant. La datation de divers objets et bris de poteries qui y ont été retrouvés, révèle que cette occupation humaine, s’étale de -25.000 à -9.000 ans.
Il y six ans de cela, après un séisme, tout en déblayant les débris, des ouvriers découvrent une grotte énorme, dans laquelle, sont emprisonnés les vestiges d’un temple très anciens, inconnu des locaux. L’étude révéla qu’en réalité, la grotte était une bulle dans une masse limoneuse envahissante (un torrent de boue). L’épaisseur de cette couche, fait en moyenne près de 12 m. Des débris ayant été fort probablement entraînés par le flux, déterminent clairement que cette bulle y a résisté, comme si elle avait été maintenue en place afin de protéger l’édifice ! Son rôle aura été accompli jusqu’ici, au vu de l’état de conservation de l’unique fresque murale sur trois parois, représentant la région à l’époque. On y distingue parfaitement une terre de forme triangulaire, dont la base, s’étire de Madagascar à l’Indonésie et l’Australie actuelles, le sommet lui, rejoint la pointe de l’Inde d’aujourd’hui. Le cartouche au centre de la carte, mentionne le nom de Kumari Kandam. Ce dernier est exprimé en Tamul. Or le Tamul est un dérivé direct du Dravidien ancien. Cette énorme presqu’île représente bien ce qui s’apparente à la Lémurie, réduisant ainsi toute confusion courante, avec l’Île Continent de Mû. Il n’est pas surprenant non plus, que ce nom apparaisse sur de nombreux vestiges découverts ci et là, principalement dans la moitié sud de l’Inde et le long de l’Indonésie
Mais qui dit « Lémurie », fait aussitôt allusion au nom que Sclater a attribué à ce continent disparu. Mais ce que ses détracteurs omettent souvent, est que ses sources étaient des moines vivant reclus, et conservateurs d’un savoir ancestral très lointain et sous diverses formes.
Il va de soi aussi que les archéologues ne s’accordent pas sur la formation de cette bulle. Est-elle artificielle ou pas, nul ne le saura ! Inutile de dire qu’une telle découverte, ait été aussitôt soustraite à la connaissance du monde, alors que de plus en plus de fouilles dans cette région, mentionnent le nom de « Kumari Kandam » et, démontrent très clairement qu’il y a bien eu une occupation humaine, si pas antérieur à la glaciation, elle l’est irréfutablement à sa fin soit près de 12.000 ans av JC. !
Par ailleurs, plusieurs autres reliquats détenus par des moines, attestent d’un passé pendant lequel des évènements se sont produits, et que notre science actuelle est dans l’incapacité de les expliquer rationnellement. En d’autres termes, ce n’est pas un chainon qui manque, mais bien une longue partie de la chaine elle-même, qui manque.
Autre lieux, autre climat, pour le moins, inhospitalier ne permettant pas d’y vivre ni survivre, c’est en Antarctique. Une équipe germano-scandinave a découvert en 1998, lors d’une étude de sédiments, des morceaux de poteries. Ceux-ci donnaient une datation au carbone 14, de près de -25.000 ans. Il est clair que cette découverte allait également créer la controverse, car elle devenait ainsi la deuxième plus ancienne trace connue d’occupation humaine d’un site. Mais les archéologues ne pouvant (ne voulant) pas l’admettre, ont préféré la nier et la censurer, en la classifiant de fausse.
Or on sait avec pertinence que les allemands, vers la fin de la guerre fouillaient déjà cette région en 46/47 avec des cartes(?) ! Puis ce fut au tour de « l’US Army », avec un déploiement de 4000 hommes (pourquoi donc autant ?), sous le couvert de « l’Opération Highjump » sur base d’anciens travaux nazis, relatant notamment « des anomalies gravitationnelles » dans cette zone ! Qui dit occupation humaine dans cet enfer glacé, fait aussitôt penser à la carte de Piri Reis, dépourvue de sa couverture glaciale, impensable logiquement, puisque ce continent est recouvert depuis près de 368.000 ans (forage Vostok > 398.000 ans).
Une comète met fin brusquement à la glaciation.
Cette glaciation aura débuté il y aurait 115 000 ans, et se serait terminée il y aurait 11 700 ans, c’est avéré. Mais ce qui ne l’est toujours pas, c’est la durée de sa fonte, pour certains adeptes de la doctrine générale, elle aurait duré près d’un siècle ! En revanche, et, en totale contradiction, appuyée par des découvertes et leur analyse, la thèse d’une fonte subite, est de plus en plus plébiscitée au sein de la communauté. Cette thèse repose sur des prélèvements faits depuis le Pacifique jusqu’aux contreforts des Alpes. Ces analyses étant pluridisciplinaires, géologie, topographie, et sédimentologie, pour les principales, le confirment.
La durée réelle de la fonte ne serait que de 2 à 3 semaines seulement un mois tout au plus. Comment a-t-on pu le déterminer avec autant de précision ? En fait, ce sont les résultats de deux disciplines qui le déterminent le plus, la sédimentation et la géologie. Une couche pas très épaisse, seulement 4 à 8 cm d’un agglomérat de cendres et de minéraux ayant subi une très courte exposition à une température extrême. On la retrouve qu’au-delà de la limite frontale de la calotte glaciaire, faiblement à l’Est de l’Asie, plus épaisse et dense sous la moitié Sud des USA, et de plus en plus mince vers les Alpes. Le schéma, montre qu’il ne peut s’agir que d’un objet tombé du ciel et ayant percuté violemment la surface de la Terre et centré sur le continent Nord Américain.
On sait que le niveau des mers devait être particulièrement bas à cette époque, et que ce phénomène aura généré une élévation brutale de ce niveau, et en aurait modifié structurellement le relief d’alors, tout en causant, des écoulements torrentiels colossaux, autrement dit, « un déluge » d’eau, de glace et de roches mélangées (!) ! D’autre part, outre l’impact, ce changement brutal de masse, aura fort probablement été générateur de nombreux bouleversements géologiques considérables, occasionnant alors, de violents séismes avec des glissements de terrains et des éruptions volcaniques toutes aussi violentes. Il n’est pas non plus à exclure qu’il y ait eu un changement dans l’inclinaison de l’axe de rotation par la disparition soudaine de cette masse. La NASA fut mandatée en 2001 pour en déterminer certains aspects consécutifs.
L’un d’eux à mis en lumière, une anomalie dans la durée du dernier cycle de précession qui, devait être de 26.000 ans. Or il y a bien eu un changement inopiné de l’inclinaison à la fin de la glaciation. Cela se retrouve dans les vestiges de certains sites remontant entre 14.000 et 12.000 ans, l’étoile polaire d’alors se situait dans le système Vega. Sur une période courte, les vestiges datant d’à partir de 12.000 ans transposent eux, une étoile du système Ursae Minoris (l’actuelle) . Et toujours selon la NASA, ce qui déclencha ce processus de fonte aussi brutale, ne pouvait qu’être l’impact d’un corps céleste. Il se serait disloqué en plusieurs fragments en entrant dans l’atmosphère. Les astrophysiciens ont identifié deux impacts, l’un plus gros serait à l’origine de la Baie d’Hudson, l’autre plus petit, aurait formé les Grands Lacs. Ces impacts devaient être si puissants et selon toute vraisemblance, quasi perpendiculaires à la surface, qu’ils pourraient avoir eu une incidence majeur sur des bouleversements tectoniques et géologiques dans le monde entier.
Curieusement et toujours selon la NASA, l’objet pourrait provenir du système Vega, le système dont « l’étoile Polaire » appartenait ! Ce changement entre l’ancienne et celle d’aujourd’hui serait dû à un cycle particulier, d’après leurs calculs, elle devrait reprendre sa place dans moins de 11.000 ans. Sauf si ! Cela reste une hypothèse, car il est impossible de connaître, ni la position exacte de la planète Terre à ce moment là, ni les paramètres de l’impact, ni l’orientation, ni la vitesse générée et apportée à notre planète, lors de l’impacte.
Ils l’ont bien vue, et représentée sur la pierre.
Cette comète se trouve illustrée sur de très nombreux vestiges sous la forme d’un serpent, tels, qu’à Gobekli Tepe en Turquie, à Ggigantija à Malte, à Cholula au Mexique où elle est partout représentée par « Quetzalcoatl » (le serpent à Plumes), dans l’Ohio avec le « tumulus du Grand Serpent* » etc., sous la forme d’un « Serpent » tombant ou venant du ciel pour certains de ces sites il y a une direction bien précise.
*Tumulus daté à +/- 13 000 ans !
Une chose est sûre, c’est que ces sites mentionnés ci-dessus, tout comme celui de Gunung Padang, ont bien tous, existé, alors que la glaciation était alors à son maximum, soit entre 21.000 à 12.000 ans !
Les erreurs d’une science arrogante.
La matière utilisée pour la datation, jusqu’ici la dégradation était prétendument stable et donc fiable. Il s’avère qu’elle n’est ni constante, ni linéaire. En effet, de récentes études et à l’usage, il a été mis en évidence que de nombreux facteurs agissent et interagissent de façons très aléatoires, pas toujours de manières bien définies et strictes. Ce qui suggère que les datations données dans nos livres d’histoire, seraient donc incorrectes. Malheureusement, archéologues, paléontologues et historiens, ne sont pas enclin à tout corriger. Ne pas le faire, les conduira indubitablement à des questionnements face à l’émergence de plus en plus d’incohérences . Malgré cela, ils « N’ADMETTRONS JAMAIS » leur ignorance de notre passé tel qu’il fut, et s’en tiendront toujours à leurs fausses affirmations le concernant, édictée par une omerta rigide et chapeautée en coulisse par des religieux !
Malheureusement, ces « dits experts », rejettent aussi toutes autres suggestions, par le déni, n’hésitant pas de les traiter de supercheries, loufoqueries et autres qualificatifs abaissants et discrétisants. Alors qu’ils ont en leurs mains, toutes les preuves, les évidences « matérielles », qu’il y a bien eu une « Civilisation » beaucoup plus évoluée, que la nôtre en des temps reculés. Ils sont si troublés que leurs explications se voulant rationnelles, sont en fait empreintes d’absurdités, au point qu’ils se discréditent eux-mêmes. Surtout que pour beaucoup, ils ne se sont même pas donner la peine de faire la moindre recherche sur les artéfacts, ni fouille des vestiges, encore moins sur le véritable passé ou origines de ces sites. Mais ils n’hésitent pas d’en qualifier de mythes ou de légendes.
Néanmoins, ils se trouvent confrontés à une question cruciale, avec ces vestiges, et je crois que c’est là leur plus grosse crainte, c’est de devoir y « répondre un jour, qu’ils ne savent pas(rien) », « qu’il leur est impossible de l’expliquer », « … pourquoi ne trouve-t-on pas de squelettes, ni d’humains, ni d’animaux ?« , juste des vestiges de constructions hors norme, de par leur taille, suggérant une mobilisation d’une main-d’œuvre abondante et sur des temps très étendus. Où sont passés les corps, mais également les outils, les moyens techniques utilisés. « Aucune trace de rien ! »
source : Les Moutons Enragés