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Médias, liberté d’expression, dissidence… les gauchistes veulent tout interdire… et ils ont leurs lois et leurs amis pour eux [L’Agora]

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La récente décision de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) de supprimer l’autorisation de diffusion de la chaîne C8 sur la TNT a ravivé les débats sur la liberté d’expression en France. Ce n’est pas seulement un coup porté à un média, mais une attaque directe, de longue date, et beaucoup plus globale contre le pluralisme et la dissidence, orchestrée par une caste qui domine les institutions françaises.

Le pouvoir gauchiste et ses méthodes

Le gauchisme a cette incroyable capacité à s’infiltrer dans tous les rouages du pouvoir, même lorsqu’il est minoritaire. Ses agents, soutenus par des financiers influents, font voter des lois scélérates sur lesquelles les élus dits de droite (RN compris) n’osent jamais revenir. Ils placent leurs sympathisants dans les hautes instances et les autorités de régulation, comme l’Arcom, garantissant ainsi que leur vision du monde soit imposée à tous, sans contestation possible.

Prenons l’exemple de l’Arcom. Cette institution, censée être une autorité indépendante, est en réalité truffée de personnes aux sympathies gauchistes. Le Conseil d’État lui-même a récemment jugé que l’Arcom devait s’assurer de l’indépendance de l’information, notamment concernant la chaîne CNews . Mais qui surveille les surveillants ? Ces décisions sont souvent prises à huis clos, sans réelle transparence, et servent à museler toute voix dissidente.

La terreur médiatique et politique

Cette oligarchie gauchiste ne se contente pas de contrôler les institutions ; elle fait aussi régner la terreur médiatique et politique. Les médias sont envahis par des journalistes et des commentateurs qui dictent ce qu’il est acceptable de penser et de dire. Toute voix discordante est immédiatement qualifiée de “fasciste”, “raciste” ou “extrémiste”, dissuadant ainsi toute critique constructive.

La droite, quant à elle, se complaît souvent dans une posture de victime, refusant de rendre coup pour coup. Elle accepte les règles du jeu imposées par la gauche, se contentant de protestations timides et inefficaces. Pendant ce temps, la gauche continue à avancer ses pions, se cachant derrière des lois qu’elle a elle-même façonnées.

Un système biaisé et oppressif

Le résultat est un système totalement biaisé, dominé par une petite élite gauchiste qui parvient à désigner comme ennemis publics quelques rares contre-pouvoirs ayant une influence et une audience considérable. Le Groupe Bolloré, malgré son succès en terme d’audience, ne pèse pas lourd face à l’ensemble des médias alignés sur la pensée unique de gauche.

Les Français, quant à eux, se voient imposer des décisions et des politiques contraires à leurs aspirations. Ils ont voté à plusieurs reprises pour moins d’immigration, plus de sécurité, et un sursaut économique et social. Pourtant, leurs choix sont systématiquement ignorés. Les audiences des médias non-gauchistes et de la presse alternative montrent clairement une demande pour plus de pluralisme et de liberté d’expression. Mais la caste au pouvoir reste sourde à ces appels.

La caste méprise le peuple

La caste au pouvoir poursuit inlassablement ses objectifs : ouverture des frontières, casse sociale, et une censure accrue des dissidents. Elle agite sans cesse le spectre de la “menace fasciste” pour justifier ses actions, une stratégie qui commence à perdre de son efficacité.

Il est essentiel de rappeler que dans l’Histoire, aucune caste aussi arrogante, hargneuse et autoritaire n’a pu maintenir indéfiniment son emprise sur le peuple. La frustration et la colère finissent toujours par déborder, menant à des bouleversements majeurs. La situation actuelle en France est un terreau fertile pour une telle révolte.

Vers un sursaut démocratique ?

Il est temps pour la droite et pour tous ceux qui croient encore en la liberté et le pluralisme de se lever et de reprendre l’initiative. La démocratie française ne doit pas rester une illusion, mais devenir une réalité tangible où chaque voix peut être entendue, où chaque opinion peut être exprimée sans crainte de répression.

La suppression de l’autorisation de diffusion de C8 par l’Arcom n’est pas une simple anecdote ; c’est un signal d’alarme. Un de plus (Faut-il rappeler les persécutions contre Dieudonné, Soral, Zemmour, pour ne citer que les plus médiatiques d’entre eux ?).  Il faut défendre vigoureusement les bastions de la liberté d’expression contre les assauts d’une élite qui veut tout contrôler. La défendre totalement, et intégralement (c’est à dire ne pas « sélectionner » qui on défend en fonction de tel ou tel pseudo degré de respectabilité ou pas). La bataille pour la liberté ne fait que commencer, et elle nécessite le courage et la détermination de tous ceux qui refusent de se soumettre à une pensée unique tyrannique.

YV

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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